Vérité n°2 mar/avr 2012
Vérité n°2 mar/avr 2012
  • Prix facial : 1,90 €

  • Parution : n°2 de mar/avr 2012

  • Périodicité : trimestriel

  • Editeur : Lafont Presse

  • Format : (210 x 270) mm

  • Nombre de pages : 52

  • Taille du fichier PDF : 27,7 Mo

  • Dans ce numéro : prête à tout pour s'en sortir... « Je me suis mise en vente sur Internet ! »

  • Prix de vente (PDF) : 1 €

Dans ce numéro...
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« J’ai mis mes ovules en vente sur internet » « Eh bien, si c’est pour se faire un peu d’argent, c’est une bonne idée... » MA VIE… Une jeune femme peut penser que 25 000 euros pour ses ovocytes, ça vaut le risque ! Alexandra Saunders est une jeune Anglaise criblée de dettes qui a décidé de s’en sortir en vendant ses ovules. Alors qu’elle cumule trois emplois pour essayer de remonter la pente, elle n’arrive toujours pas à joindre les deux bouts avec un salaire annuel de 24 000 euros. Il faut dire qu’Alexandra, bien qu’âgée seulement de 26 ans, est une joueuse invétérée qui doit aujourd’hui faire face à des dettes d’un montant de 19 000 euros, qu’elle doit rembourser rapidement si elle ne veut pas perdre les dernières choses qui lui appartiennent encore. « J’étais assise dans la salle d’attente d’un médecin et j’ai lu dans un magazine que des Américains qui ne pouvaient pas avoir d’enfants étaient prêts à payer très cher pour récupérer des ovules. Il y avait le nom d’un site à la fi n de l’article et je me suis connectée pour y déposer ma candidature. Il y avait une longue liste de femmes qui avaient également mis leurs noms. » Rien ne semble alors plus simple à Alexandra, qui pense alors avoir trouvé la solution à tous ses problèmes : « Vous déposez quelques détails sur vous, comment vous êtes physiquement, si vous êtes en bonne santé ou si vous fumez et c’est tout. Je n’ai encore rien reçu, mais les couples peuvent entrer en contact directement avec moi, et j’attends impatiemment. » Son geste a choqué beaucoup de gens en Angleterre où il est interdit de vendre ses ovules. Le geste doit être un don, sans aucune compensation, mais peu de jeunes femmes le font car il n’est pas anodin. Le don d’ovules n’est pas comme un don de sperme. Les œufs des femmes doivent être récoltés et la procédure peut causer l’infertilité, les maladies et même la mort. « C’est pourquoi les gens aux États-Unis paient des prix aussi élevés pour les œufs en raison des dangers impliqués », explique un médecin. Pour sa part Alexandra confi e : « J’en ai parlé à ma mère qui m’a dit : « Eh bien, si c’est pour se faire un peu d’argent, c’est une bonne idée », sans se rendre compte que ce geste pouvait rendre sa fille stérile. « Une jeune femme peut penser que 25 000 euros pour ses ovocytes, ça vaut le risque. Mais elle pourrait vouloir des enfants à 30 ans et découvrir alors qu’elle ne peut pas les avoir. Ironiquement, elle pourrait avoir à payer le même montant pour un don », précise le docteur. Mais Alexandra conclut : « J’ai besoin de cet argent et des gens sont prêts à payer pour quelque chose que j’ai. Nous nous aidons mutuellement, c’est comme un échange qui convient à tout le monde et je ne vois pas ce qu’il y a de mal à cela. » 13



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