42 Reflets de la Physique n°60) 7r(n2MC CfraveliDe. Pe PaiueL oexSein chooz neinin, Cattertoill Uri, e sceuzahk ne. Fesaeriheirn, Dampiem 3,in Beiletike sur-Loir Le emelt.e., di,len _:x) Le Biller-1\111 creyola watert.n13 `frics tir. Crin marceae kCadarache e'Toulon, ste Le nucléaire civil et militaire dans la France de Sarkozy, vu par Cabu. Les réacteurs de recherche, tels que l’Institut Laue-Langevin situé dans la ville de Grenoble, ne sont pas mentionnés. nucléaires usagés : 264 tonnes de barres très radioactives ! Depuis un an et demi, ce bassin dit de «désactivation» repose à trente mètres du sol sur le bâtiment ébranlé du réacteur numéro 4 de la centrale de Fukushima-Daiichi. Il n’est plus protégé ni par un toit solide ni par des murs, mais par une simple bâche de plastique blanche. » Au moment où Le Nouvel Observateur publie cet article alarmiste, la piscine est recouverte d’une structure métallique lourde de 60 tonnes et non d’une bâche en plastique. Elle sera ensuite entièrement vidée de ses combustibles nucléaires. Parmi les errements de la presse à propos de l’accident de Fukushima, l’attribution des 20 000 morts du tsunami de mars 2011... à l’accident nucléaire par l’Humanité lors de l’anniversaire de l’évènement, en 2016. Avec un tel traitement, comment s’étonner de ce que, selon l’enquête sociologique annuelle de l’IRSN (b), une majorité de Français considèrent l’accident japonais comme « plus effrayant » que celui de Tchernobyl, dont le bilan sanitaire est pourtant bien plus grave ? Éléments rationnels L’anomalie de fabrication survenue sur le fond et le couvercle de la cuve de l’EPR en construction à Flamanville a provoqué la parution de centaines d’articles. La plupart d’entre eux ont précédé le travail d’analyse des conséquences de cette anomalie sur la capacité de la cuve à remplir sa fonction. Et d’annoncer ou de suggérer que la cuve ne pouvait certainement pas être utilisée… ce qui s’est révélé, in fi ne, une « information » médiocre. Après l’autorisation donnée par l’Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) pour cette cuve, il ne restait plus que l’accusation de collusion avec les industriels contrôlés pour justifier les articles publiés auparavant. Le débat public sur l’économie ou le bilan des avantages et inconvénients du choix nucléaire pour la France est toujours grevé par une ignorance entretenue. Lorsque la Cour des comptes fait le bilan très complet des couts du nucléaire depuis son origine (c), la presse aligne les milliards... mais sans les mettre en comparaison avec d’autres sources possibles d’électricité. Les anciens « prélèvements sur les bénéfices » puis les milliards de |