Y o Il est temps maintenant d’usiner le rep. 1 dans du carré de 2 x 2, le rep. 2 dans du carré de 5 x 5, puis les rep. 3, 4, 5 et 6 (photo Y). Le rep. 3 vient s’encastrer sur le rep. 2 ; le rep. 1 s’emboîte au sommet du mât tandis que le rep. 3 s’emboîte sur sa base. La pièce 4 sera soudée à la base du rep. 2 après avoir enfilé un fil de Ø 0,6 qui participera à la fixation solide du sémaphore dans le décor. On soudera ensuite sur la pièce 3 les quatre boîtes sémaphoriques rep. 5 à leur emplacement. Ne pas oublier de découper les deux petits bras, que j’ai réalisés pleins ; les mettre en place sur une tige qui traverse le mât du sémaphore. Mettre en place les deux feux (rep. 6) puis les deux ailes, après avoir équipé les deux trous de fil Ø 1 qui dépasseront légèrement de chaque côté pour évoquer les feux électriques et que l’on positionnera suivant son inspiration (photo U). Peinture Le mât est noir dans un premier temps puis certains ont reçu de la peinture blanche, en alternance avec le noir. Les ailes sont rouges du côté vu par le mécanicien et blanches de l’autre côté ; les petites ailes sont jaunes. Si ce signal (bloc manuel Lartigue) est bien connu des amateurs, il n’a été utilisé que par trois compagnies : le Nord, l’Est et le PO. Une carte à la page 235 de l’ouvrage « Histoire de la signalisation ferroviaire française » (Alain Gernigon, Ed. La Vie du Rail) permet de situer les différentes lignes équipées à la création de la SNCF. Concernant le fonctionnement exact de ce signal, je suis encore en attente d’une explication simple et claire pour le non-cheminot que je suis ! U Le sémaphore en fonction dans la gare de Einvaux. 30 - Modèles Ferroviaires - nº19 |