Montage de kit R La traverse de tamponnement avant pliage. La flèche rouge montre le fût du tampon. La pièce bleue, la patte de fi xation de l’échelle qu’il faut araser pour pouvoir plier correctement la traverse. T R T Le montage des coulisseaux. J’ai commencé par plier les petits flancs, puis j’ai renforcé le pliage par un congé de soudure liquide. est cependant très importante. Ne souhaitant pas utiliser de chalumeau, je me suis tourné vers la plaque électrique de ma cuisinière. J’ai donc posé, sur une feuille d’aluminium, la couronne (pièce 18), l’habillage et le châssis, le tout parfaitement alignés grâce aux fils de laiton de 0,6 mm. Reposant sur les longerons, un bocal en verre rempli d’eau fait office de poids pour que toutes les pièces soient parfaitement plaquées. Lorsque la soudure des longerons a commencé à se liquéfier, j’ai arrêté le phénomène en arrêtant la plaque de cuisson et en versant sur l’ensemble des pièces en laiton un verre d’eau froide. L’opération a été un succès  : toutes les pièces forment désormais un ensemble indéformable. Attention cependant  : il faut désormais chauffer davantage pour souder sans peine les autres pièces. Évidemment, je n’ai pas collé les flancs mais je les ai soudés également. En étamant les deux pièces et en mettant du flux sans acide, il n’y a aucune difficulté. Pour éviter la déformation des décors, j’ai commencé par souder au milieu puis j’ai dirigé le fer vers chacune des extrémités. Les traverses de tamponnement Leur montage ne pose aucun problème… à condition de bien penser à araser les pattes de fixation de l’échelle. Sans quoi, elles buteront sur les supports de tampons et empêcheront le bon montage de la traverse (photo R). J’ai évidemment soudé l’habillage de la traverse (pièce 28), ce qui ne pose aucun problème avec de la soudure liquide. Y Y La flèche rouge indique les pattes de fi xation repliées pour faciliter le montage des poignées. Les coulisseaux sont des pièces qui prennent place sous le châssis. Ils se forment relativement facilement par pliage (photo T). Pour les pièces (35 et 36) j’ai commencé par plier les petits flancs avec une pince plate. J’ai renforcé les pliages par un peu de soudure liquide. C’est le moment de vérifier que les coulisseaux rentrent parfaitement dans leurs emplacements. Si ce n’est pas le cas, il faudra reprendre le montage du châssis… La cabine Le montage des portes de la cabine ne pose aucune difficulté. J’ai commencé par disposer un peu de soudure liquide le long de l’embrasure de la porte. J’ai ensuite déposé la porte (pièces 52 et 53) que j’ai centrée grâce aux rambardes. Puis, en approchant le fer par l’intérieur et avec un peu de soudure en fil, j’ai immobilisé les rambardes. La soudure liquide, dans le même temps, a scellé la porte. Pour maintenir en place facilement la poignée de la porte de la cabine (pièce 55), j’ai rabattu les pattes de fixation le long de la porte (photo Y). Pour la soudure des écrous sur la cabine, je n’ai pas suivi la notice. Il est en effet beaucoup plus facile de souder l’écrou avant de replier la patte de fixation, lorsque toute la cabine est encore à plat. Pour éviter que la vis ne reste prisonnière, une technique simple est de la tremper dans l’huile (de cuisine par exemple). Il est dès lors possible de chauffer correctement les pièces sans aucun danger. Au pire, une bonne odeur de friture peut vous donner faim… Comme indiqué dans la notice, la mise en forme de la cabine se fait lentement et avec précaution. Une fois en forme, j’ai renforcé oles pliages avec un peu de soudure liquide. nº19 - Modèles Ferroviaires - 21