Metro News Paris n°2806 3 jui 2015
Metro News Paris n°2806 3 jui 2015
  • Prix facial : gratuit

  • Parution : n°2806 de 3 jui 2015

  • Périodicité : quotidien

  • Editeur : SAS Publications Métro France

  • Format : (235 x 300) mm

  • Nombre de pages : 28

  • Taille du fichier PDF : 7,5 Mo

  • Dans ce numéro : Islande, la nature à l'état pur.

  • Prix de vente (PDF) : gratuit

Dans ce numéro...
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vendredi 3 juillet 2015 18 CULTURE www.metronews.fr 3 Ces sur TÉLÉ Bruno est la force tranquille du jeu d’aventures de TF1, « Koh-Lanta Johor », diffusé tous les vendredis. Pour metronews, il raconte comment il a monté une stratégie pour sortir Jeff. EN VIDÉOS retrouvez touS CeS SuJetS Sur metronews.fr/culture couples d’Hollywood qui résistent encore. La bande-annonce du très attendu SteveJobs. Spectacle Giuliano Peparini : silence il danse ! Isabelle ZeZIma Giuliano Peparini l’enchanteur du roi Arthur portrait. le metteur en scène et chorégraphe d’origine italienne peaufine actuellement les derniers détails de son prochain show, La Légende du roi Arthur. renContre. Juré de « la France a un incroyable talent » à l’automne 2014, Giuliano Peparini se démarque par des choix audacieux et spectaculaires. boriS tamPiGny il veut entrer dans la légende. Giuliano Peparini n’en est pas à son coup d’essai, mais il a la volonté farouche de réussir son meilleur spectacle avec La Légende du roi Arthur, imaginé par Dove Attia. « Je ne me reconnais pas forcément dans les chansons des comédies musicales françaises mais, avec Dove, je me fais toujours avoir par l’histoire, sourit celui qui va diriger Florent Mothe, Zaho ou Camille Lou. Je me documente toujours beaucoup avant de commencer, j’ai rencontré des spécialistes du monde arthurien en Bretagne. Ça ne m’empêche pas de mélanger des décors d’époque et des éléments modernes grâce aux lumières. » Les deux hommes s’étaient déjà associés pour la comédie musicale 1789, les amants de la Bastille, dont l’univers visuel affichait déjà une ambition monstre. Sauf qu’ici il est sur tous les tableaux, comme on peut le voir sur l’affiche. « J’ai besoin qu’on puisse lire la même signature, dire que c’est la même personne », affirme-t-il. Pas de 2 e saison sur m6 Jusqu’ici, le nom de Giuliano Peparini était surtout connu des amateurs de danse classique et de productions spectaculaires données à Las Vegas et Macao. Mais son apparition dans « La France a un incroyable talent », à l’automne 2014 sur M6, lui a donné une envergure grand public qu’il assume pleinement. Toutefois, il ne se voyait pas reconduire sa participation. « Finalement, je suis soulagé d’avoir un planning trop chargé parce que je ne suis pas sûr que ce soit une expérience à reproduire, c’était une parenthèse agréable, mais je ne sais pas si j’aurais été à l’aise sur une deuxième saison. » Danseur étoile à marseille Depuis toujours, la France joue un rôle crucial dans son parcours. Formé dans une école prestigieuse de New York, Giuliano Peparini devient danseur étoile au Ballet national de Marseille en 1997. « Je suis parti de mon pays quand j’avais 14 ans, j’ai dû prendre des décisions importantes, j’ai peutêtre raté des moments importants dans ma vie, mais ça m’a rendu moins confus, avoue ce fondu des classiques du théâtre français. Je voulais démontrer et me battre pour prouver que je n’étais pas parti pour rien. Je suis quelqu’un de déterminé, je ne lâche jamais l’affaire. » Et Giuliano Peparini a gardé son âme d’enfant. Difficile de ne pas voir les metteurs en scène comme des bambins qui s’amusent à recréer des mondes entiers et faire évoluer leurs personnages comme des figurines. L’Italien pousse même la comparaison jusqu’à revenir régulièrement sur les bancs de l’université. « Je suis un « homme-étudiant », confesse-t-il. J’ai besoin de me nourrir perpétuellement, j’ai pris des cours avec Michel Galabru, j’ai besoin de me retrouver de l’autre côté, je suis curieux. » Une chose est sûre : Merlin ne sera pas le seul enchanteur sur la scène du Palais des congrès, à compter du 17 septembre.§
vendredi 3 juillet 2015 www.metronews.fr CULTURE metr news 19 James Bay, sa folk a un charme fou Musique A moins de vivre dans une grotte, impossible de ne pas avoir entendu parler de James Bay. Avec sa silhouette longiligne, ses cheveux longs et son chapeau, il a la dégaine d’un rockeur un peu poseur. C’est pourtant dans le folk « à la roots » que la musique de cet Anglais de 24 ans baigne depuis l’enfance. Son album, Chaos and the Calm, a conquis le cœur des Britanniques et de 400 000 acquéreurs à James bay et sa folk voyageuse, à retrouver travers le monde, grâce à une demain au Main square d’arras. Alex ShAhmiri chanson entêtante : « Hold Back The River ». Si vous êtes passés à côté, voici trois bonnes raisons d’écouter le prodige anglais. Un talent précoce James Bay n’est pas du genre à rechercher la gloire à tout prix. Allergique au télécrochets, il préfère la vieille méthode pour se faire remarquer : jouer dans les bars, guitare en bandoulière. C’est d’ailleurs dans un pub londonien qu’il a démarré sa carrière. Un caméraman passait par-là. En admiration pour sa voix suave, il le filme, met la chanson sur YouTube et, quelques jours plus tard, un label new-yorkais contacte le folkeux en herbe. Il avait 16 ans. En 2013, les Rolling Stones lui offrent leur première partie à Hyde Park et, deux ans plus tard, il taille la route en solo. des inflUences diverses Certains admirateurs comparent déjà le jeune garçon à Jeff Buckley. Comme son illustre prédécesseur, James Bay a la manie de mélanger des influences diverses. Sa musique prend sa source dans le folk, le rock et la soul music. L’amateur de vieilleries musicales intemporelles confesse que c’est plutôt Ray Charles et Marvin Gaye qui lui ont donné envie de chanter. C’est donc logiquement dans le berceau de la soul music, à Nashville, qu’il a enregistré Chaos and the Calm, un album lumineux et plein de chaleur au-dessus duquel flotte l’aura de Bob Dylan et de Bruce Springsteen. Un songwriting d’orfèvre Malgré son jeune âge, James Bay a une plume déjà bien affûtée et se sert de son passé de fils d’ouvrier pour nourrir ses chansons à la manière des vieux bluesmen américains. Autodidacte, c’est d’ailleurs en écoutant les monstres sacrés du blues qu’il a appris à jouer de la guitare. Aujourd’hui, il maîtrise parfaitement l’instrument, aussi bien en acoustique qu’en électrique. Mais c’est dans la première formule que s’apprécie le mieux la douceur et la beauté de sa musique. §sabine bouchoul en concert samedi au festival main Square d’Arras et le 2 novembre à l’Olympia. PALAIS DE TKYTIANZHUO CHEN EXPOSITION 124 JUIN -13 SEPT 15 OUVERT DE MIDI À MINUIT* O O @PalalsdeTokyo I #TlanzhuoChen Station Iéna ou Alma Marceau O O TIMM.° CHEN. ADAM c +eoorA,AFNTATIoNDEPENFON.,ANCE CoNNIEW DE LABBB



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