CENTRE D'APPUI AUX COMMUNAUTÉS IMMIGRANTES En français, le numérique, c’est stratégique Pourquoi et Comment Vous constituer une clientèle locale Attirer plus de clients et les fidéliser Vous démarquer de la concurrence Soigner l’image de votre entreprise Être en conformité avec la loi Le CACI vous informe, vous propose des outils et peut vous guider. caci-bc.org/viragenumerique 22 Journal Métro Vendredi 17 septembre 2021 16 —. r— Arts visuels Quand la nature nourrit l’art En synergie avec la question environnementale, le monde des arts visuels promet d’en mettre plein la vue cet automne. Voici notre sélection des expositions les plus attendues. Sumarnótt : la mort est ailleurs À la fin de septembre, le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) invite les visiteurs à plonger dans l’univers de l’artiste islandais Ragnar Kjartansson grâce à une projection sur sept écrans. Filmée au pied du volcan Laki et réalisée avec la collaboration des groupes Mùm et The National, l’œuvre se veut une méditation musicale sur l’amour, la mort et les relations humaines. Du 28 septembre au 2 janvier au MBAM. We live in an ocean of air Le studio britannique Marshmallow Laser Feast a conçu une installation immersive qui met en lumière le lien fondamental entre les animaux et les plantes. À l’aide d’une combinaison unique de technologies – réalité virtuelle, moniteurs de fréquence cardiaque et capteurs de respiration –, les visiteurs seront complètement immergés dans un monde qui va au-delà de la perception humaine. Dès le 28 septembre au Centre Phi. Charlotte Mercille info@journalmetro.com D'ITALIE.e. LeTânCr.-1..-mares=c7nEr17.-mawrJr1.— — = = —— — Gaps, Holes, Fissures, and Frictions Êtres/lieux —nereL=1 — Dans cette expo, DawitL. Petros poursuit ses recherches sur les notions de mobilité, de colonisation et de récits migratoires contemporains. Ses photographies performatives nous laissent entrevoir des personnages situés dans des paysages emblématiques du Québec. Jusqu’au 30 octobre à la Galerie Bradley Ertaskiran. La Galerie de l’UQAM accueille cet automne une exposition d’Enrique Ramírez. À travers l’allégorie de la mer, l’artiste chilien pose un regard nuancé sur plusieurs enjeux biopolitiques, incluant les événements sous Pinochet et les politiques d’immigration. Au moyen de textes, d’images et d’objets chargés de poésie, il explore l’impossibilité pour certains corps de faire l’expérience d’une vie pleinement vécue. Du 5 novembre au 18 décembre à la Galerie de l’UQAM. Photos : Gracieuseté |