MONDE Mark Zuckerberg am Sa fortune à la charité Le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, qui est papa depuis peu, a promis hier de consacrer 99% des actions de sa compagnie à des œuvres de charité afin de « créer le monde dans lequel nous espérons que [notre fille] puisse grandir ». Ce don, qui s’échelonnera sur la vie entière du philanthrope, est aujourd’hui évalué à 45 G$US. métro LES MEMBRES EN PROFITENT. OFFRES CHEZ + PLUS virginmobile.ca journalmetro.com mercredi 2 décembre 2015 États-Unis Demande pour que Tsarnaev soit jugé de nouveau Dzhokhar Tsarnaev/ap Commandez en ligne à virginmobile.ca, appelez au 1 855 238-6847, ou passez nous dire bonjour. VIRMASP56753_HLDAY_Nov_FR_MTRO_NOPRICE.indd 1 Les avocats de Dzhokhar Tsarnaev, trouvé coupable d’avoir perpétré les attentats du marathon de Boston en 2013, demandent la tenue d’un nouveau procès. Ils ont argué hier qu’un récent jugement de la Cour suprême remettait en question 15 des 30 chefs d’accusation retenus contre lui. La défense affirme que les jurés ont tenu compte de ces chefs lorsqu’ils ont rendu leur verdict. Dzhokhar Tsarnaev a été reconnu coupable et condamné à la peine de mort pour son rôle dans les attaques qui ont causé la mort de trois personnes. ap Obama plaide pour un ac Paris. Le président des États-Unis, Barack Obama, a affirmé hier que certaines parties de l’accord sur la lutte au réchauffement de la planète qui fait présentement l’objet de négociations à Paris devraient être contraignantes pour les pays signataires. Cette prise de position a valu des éloges à M. Obama à la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, de la part de ceux qui espèrent la conclusion d’une entente forte concernant la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) générées par la combustion du charbon, du pétrole et du gaz. Mais cette proposition pourrait aussi provoquer la colère des républicains à Washington, surtout si le président Optimiste « Je suis convaincu que de grandes choses seront réalisées [à Paris]. » Barack Obama, président des États-Unis, qui a affirmé que les républicains, qui s’opposent à un accord international sur le climat, changeraient de discours s’ils étaient au pouvoir essaie de promulguer l’accord sans d’abord demander l’approbation du Congrès. Dans le cadre des pourparlers internationaux, l’administration Obama a promis de diminuer les émissions de GES des États-Unis de 28% d’ici 2025. Mais intégrer cet objectif à l’entente de Paris exigerait probablement que le président obtienne l’aval du Congrès, ce qui ne risque pas d’arriver puisque ce dernier est contrôlé par le Parti républicain. Plusieurs membres de la formation politique remettent en question l’existence même des changements climatiques ou craignent que des règles plus strictes en matière de pollution nuisent à l’emploi. Barack Obama ne souhaite donc pas inclure les cibles dans l’accord, mais il voudrait rendre certaines procédures contraignantes, notamment en ce qui concerne la fréquence et la transparence des vérifications faites pour s’assurer de l’atteinte des objectifs et l’augmentation de ces derniers. La déclaration de M. Obama a été accueillie avec soulagement par le gouvernement français, qui s’inquiétait des intentions de la Maison-Blanche après que le secrétaire d’État américain, John Kerry, eut affirmé que l’entente ne serait pas un traité et qu’il n’y aurait pas de cibles contraignantes. Opposition républicaine Hier, la Chambre des représentants du Congrès américain a cependant adopté deux résolutions dénonçant les restrictions que Barack Obama veut imposer aux centrales thermiques afin de réduire les émissions de GES, et ce, même si le président a prévenu qu’il recourrait à son droit de veto pour forcer l’entrée en vigueur de la réglementation. ap Le président Barack Obama a été salué par le gou T:2 ((WAVE SANS FIL)) SOURCE` la cabinen. fir SONS-FILeic... 12 B:2 S:2 |