4 im NEWS LUNDI 7/12/2020 1 metrotime.be Les Belges incertains face aux évolutions de leur travail BRUXELLES Selon une enquête auprès de 2.000 travailleurs, à peine 37% des travailleurs belges s’attendent à correspondre encore à leur travail d’ici cinq ans. Une enquête réalisée par l’entreprise de services RH Acerta et le bureau d’enquête Indiville dévoile qu’un Belge sur trois pense qu’il prendra encore plaisir à exercer son travail dans un avenir proche. Ce sentiment est principalement présent chez les collaborateurs de moins de 35 ans. DE MOINS EN MOINS SATISFAITS Certains des constats dressés par le bureau de ressources humaines sont frappants. En 2018, plus de la moitié des sondés (58%) étaient convaincus qu’ils resteraient en adéquation avec leur emploi encore quelques années. Le sondage révèle des résultats en La Commune d’Ixelles recrute pour un contrat à durée déterminée de 6 mois, renouvelable en CDI temps plein (h/f/x) UNE ÉLECTRICIENNE Niveau CESI ou CESS Vous êtes prêt(e)... à mettre votre enthousiasme et votre dynamisme au service d’une équipe soudée et énergique ? à relever les défis d’un service public moderne au service de la vie locale ? Alors, n’hésitez pas… et rejoignez l’administration communale d’Ixelles ! baisse pour l’affirmation « Je conviendrai toujours à mon employeur actuel dans 3 à 5 ans » : à peine 36% le pensent (contre 54% il y a deux ans). Et à peine trois sur dix pensent qu’ils seront aussi performants dans cinq ans qu’ils le sont actuellement. Il y a deux ans, ils étaient six sur dix. OUVERTS AUX NOUVEAUX DÉFIS Bien que deux travailleurs sur trois soient conscients du fait que leur employabilité ne durera pas en restant les bras croisés, les Belges ne passent que rarement à l’action. Au contraire, les chiffres de cette enquête montrent que seul un sur trois réfléchit à sa carrière La commune d’Ixelles sélectionne les candidats sur base de leurs compétences et ne fait pas de distinction d’âge, de sexe, d’origine ethnique, de croyance, de handicap ou de nationalité. Vous voulez faire profiter notre équipe de votre expérience et de votre savoir-faire ? Alors, n’hésitez pas ! Postulez via notre site web : www.jobs.ixelles.be pour le 18 décembre 2020 au plus tard Vous trouverez tous les renseignements nécessaires dans notre offre d’emploi. Des questions persistent ? Appelez le 02/515.61.50. Ph. Unsplash Une prolongation de la carrière des militaires n’est « pas à l’ordre du jour durant cette législature », a annoncé la ministre de la Défense, Ludivine Dedonder (PS). Cette déclaration a été bien accueillie par les syndicats militaires, eux qui s’étaient opposés avec force à la décision prise par le gouvernement Michel, réunissant le MR, la N-VA, l’Open Vld et le CD&V. Le gouvernement avait pris par la suite des mesures d’adoucissement de l’allongement progressif des carrières militaires. Les syndicats avaient toutefois maintenu leur opposition à cette mesure en faisant valoir leur spécificité et la pénibilité de certaines fonctions. UN MESSAGE POSITIF Maintenir l’âge de départ à et tente d’exploiter ses capacités de manière optimale. Par ailleurs, seuls 30% des collaborateurs indiquent s’autoformer. Si un projet venait à se présenter, on ne compte qu’un collaborateur sur quatre (25%) qui se porterait candidat pour une tâche qui outrepasse sa fonction actuelle. Dans ce contexte, Acerta invite les organisations à miser davantage sur la rotation des emplois, c’est-à-dire des collègues qui échangent (temporairement) leur fonction. ◀ L’âge de la retraite des militaires maintenu à 56 ans BRUXELLES Les syndicats militaires ont exprimé hier leur satisfaction après l’annonce faite par la ministre de la Défense de ne pas toucher à l’âge de départ des militaires à la retraite. Il restera fixé à 56 ans. Belga/L. Dieffembacq la retraite à 56 ans, c’est « un très bon message à destination de la communauté militaire », a réagi hier le président de la Centrale générale du personnel militaire (CGPM), Yves Huwart. La CGPM s’était opposée à cette réforme en faisant valoir qu’elle allait coûter cher, tout en allant à l’encontre d’objectifs de la « vision stratégique » adoptée trois Débat autour de la taxe kilométrique Belga/L. Dieffembacq BRUXELLES « Une concertation d’urgence est nécessaire avec le gouvernement bruxellois sur son projet d’introduire une taxe kilométrique intelligente à partir de 2022, et un accord de coopération souhaitable », estime la ministre flamande de la Mobilité, Lydia Peeters (Open VLD). Elle affirme que sans cela, gouvernement flamand entamera « des démarches juridiques pour défendre les intérêts des navetteurs ». ◀ mois plus tôt, avec comme objectif le rajeunissement des effectifs de l’armée. La CSC-ACV Défense et le SLFP Défense ont également réservé un bon accueil à l’annonce faite par la ministre. Tant la CSC que l’ACV sont toutefois favorables à offrir aux militaires la possibilité de prolonger de la carrière au-delà de 56 ans « sur une base volontaire ». ◀ |