4 SDSS Retour sur l’actualité les défis du cea février 2011 VITRINE INSPIRATRICE TEXTE : Aude Ganier MICRO ET NANOTECHNOLOGIES Systèmes de localisation indoor, matériaux instrumentés, dispositifs de chirurgie assistée, maquettes interactives… Ces récents développements technologiques du CEA, parmi une cinquantaine, trônent dans un nouveau showroom à Minatec 1, qui passe de 120 à 400 m². Un agrandissement nécessaire au regard du nombre de briques technologiques et de démonstrateurs mis au point, en autofinancement ou dans le cadre de projets bilatéraux et de consortium. Ici, les La plus grande carte du ciel jamais réalisée. 470 millions C’est le nombre d’objets astronomiques (galaxies, étoiles, quasars…) du plus grand relevé du ciel jamais effectué, mis à disposition par la collaboration Sloan Digital Sky Survey-III, à laquelle a participé le CEA, lors de la réunion annuelle de la Société américaine d’astronomie, à Seattle en janvier dernier. La surface high-tech du nouveau showroom de Minatec passe de 120 à 400 m². travaux d’Essilor, Michelin, Schneider ou Freescale côtoient ceux des start-up du CEA, Microled, Movea, Isorg… Le showroom présente aux industriels la profondeur technologique et les capacités d’innovation du CEA et constitue une vitrine pour attirer et inspirer de futurs partenaires. Il est également conçu pour stimuler la créativité des visiteurs, institutionnels et industriels, ainsi que les scientifiques du CEA afin de favoriser l’innovation transversale. note : 1. Campus d’innovation en micro et nanotechnologies situé à Grenoble, marque déposée du CEA. TÉLEX Le CEA, le CNRS et le synchrotron Soleil engagent une collaboration avec l’Association des partenaires industriels des grands équipements scientifiques (Piges). Objectif : renforcer leur synergie dans le domaine des infrastructures de recherche et la R&D en physique nucléaire et des hautes énergies. COOPÉRATION FRANCO-SUÉDOISE RENFORCÉE TEXTE : A. G. RELATIONS BILATÉRALES Le CEA, le CNRS et l’UVSQ1 ont signé, à Stockholm, cinq accords de coopération avec des instituts de recherche suédois, d’un montant de 58,3 millions d’euros sur six à sept ans. Ces accords font suite au soutien français du projet ESS 2, source de neutrons la plus puissante au monde qui permettra d’analyser les phénomènes physiques au niveau atomique et moléculaire. Ainsi, deux des cinq accords portent sur la physique des neutrons ; les trois autres visent les sciences du climat et le nucléaire du futur. notes : 1. Université de Versailles-St-Quentin-en-Yvelines. 2. European Spallation Source, infrastructure qui sera construite à Lund (Suède). CEA |