LE TIGRE HINDOU, LE CROCODILE ÉGYPTIEN, LE TERRIER IRLANDAIS ET LE DOMPTEUR EN I) ! : l'HESSE JOHN BULL. — Je voudrais bien savoir si c'est moi qui les tiens ou si ce sont eux qui me possèdent ! (Kiadderadatsch, Berlin.) L'ALLEMAGNE ET LA REPRISE DITS RELATIONS COMMERCIALES AVEC L'ÉTRANGER — C'est le moment de gonfler ce paisible mannequin. (Simplicissiinus, Muiicti.) L'OURS — Avez-vous entendu, cette fois ?... LE LION BRITANNIQUE ET L'OURS RUSSE LE RIRE A L'ÉTRANGER LES TRAITÉS COMMERCIAUX DE L'ANGLETERRE AVEC LA RUSSIE ET L'ALLEMAGNE LE FRANÇAIS. — 1)is donc, John, ne vois-tu pas qu'ils trichent ? L'.%NGI ; AIS. — Je sais, je saisl... Mais si je refuse de jouer avec eux j'aurai des ennuis avec mes chôincurs. (Mucha, Varsovie.) L'EMPRUNT FRANÇAIS EN AMÉRIQUR L'ONCLE SAM, à Marianne. Chère amie, je veux bien à nouveau vous offrir un beau râtelier en or, niais'espère bien que vous ne l'utiliserez point, cette fois, pour faire de nouvelles conquêtes. (Kladderadatsch, Berlin:) SI CHRISTOPIIE COLOMB DÉCOUVRAIT MAINTENANT L'AMÉRIQUE — Mais, voyons. je suis Christophe Colomb ? — Christophe Colomb ? Un Italien, un immigrant indésirable ? Rien à faire : nous ne pouvons vous autoriser â débarquer 1 (Sera, Milan.) I.l'. I.I)N. — Yes (Passing Show, Londres.) LE MAITRE DU MONDE OU L'ONCLE SAM PARTICIPE AU RÈGLEMENT EUROPÉEN CHEZ LE 1)E\TISTE (Krokodil, Moscou.) — Je vous avais bien dit, docteur, de faire un peu plus attention... Vous m'avez donné beaucoup trop de gaz ! (Judge, New-York.) Pt. r1- 4 r-±ç- Ale — Comment, vous n'ètcs que deux personn"s et vous n'avez pas assez d'un appariement de douze pieces ? — Que voulez-vous ? Mon mari tient à conserver tous les discours de Mussolini. (Pasquino, Turin.) |