LE NOUVEAU REICHSTAG LE PRÉSIDENT ÉBERT. - Qu'est-ce chue c'est que ces deux gaillards (le communiste et 1 ultranationaliste) que l'on m'a collés sur le dos ? (Simplicissimus, Munich.) LA T. S. F. A BUCKINGHAM PALACE LE ROI GEORGE. - C'est tout au moins une façon de consolider un peu ma couronne ! (Lite, New-York.) a. —, _ri k !, I./,/*.e. Ir je,f C 1 i 1 ; i ç 1 ir, , * l efr 1 * LE CONFLIT AMERICANO—JAPONAIS L'ONCLE SAM. — Ce satané Japon n'a rien à faire Ici... Je vais l'envoyer au diable !... (Simplicissimus, Munich.) LE RIRE A L'ÉTRANGER PRINTEMPS ALLEMAND Au cri de ralliement de Ludendorff'les canons surgiront de terre. (Lachen Links, Berlin.) LES NÉGOCIATIONS ANGLO—RUSSES LE DÉLÉGUÉ RUSSE. - Ce que nous voulons, c'est votre argent. JOHN BULL. Qu'avez-vous donc fait du votre ` ? LE DÉLÉGUÉ RUSSE. — Eh ! vous savez bien que notre campagne.contre le capitalisme nous a coûté très cher ! (Punch, Londres.) UN CRAN EUR LE MOINEAU, las d'attendre. — I1 ne doit pas manger : il est trop fier. C'est le dernier qui ait renversé le prince de Galles. (Passing Show, Londres.) AU SECOURS DU FRANC LES DOLLARS AMÉRICAINS. — La Fayette, nous voilà ! (G. M. Adams Service, U. S. A.) cc AUX LOUPS ! » Les politiciens américains compromis dans le scandale des pétroles s'efforcent en vain d'échapper au châtiment. (Judge, New-York,) A TUNIS LE FONCTIONNAIRE FRANÇAIS, cherchant à effacer la mention : « Italien né à Tunis » sur un acte de naissance. — Nom d'un chien 1 il y a des caractères qui résistent. L'ÉMIGRANT ITALIEN. — Oui, ceux de la race ! (I1 Travaso, Rome.) POUR LA PROTECTION DES PIÉTONS Pourquoi ne pas les munir de ressorts ? (Judge, New-York.) |