CAS CLINIquE 2 Histoire médicale : patiente âgée de 66 ans, antécédent d’adénome hypophysaire, aucune allergie déclarée, non fumeuse Raison de la consultation : instabilité de la prothèse mandibulaire, déficit esthétique et masticatoire Examen extra-orale Pas de pathologie articulaire Patiente hyper-divergente, en classe 3 squelettique (excès vertical) Examen clinique maxillaire dents condamnées (11, 12, 13, 15, 21, 22, 24 et 25) Égression de compensation du bloc antérieur Fig. 24, 25, 26 et 27 Examen clinique mandibulaire Espace prothétique réduit au niveau des secteurs postérieurs L’augmentation de l’espace prothétique devra se faire chirurgicalement dans la mesure où la dimension verticale ne sera pas augmentée Fig. 28,29 et 30 Examens complémentaires CBCt Empreintes d’études duplicata des modèles Enregistrement des rapports maxillaires à l’aide d’un arc facial Montage diagnostic sur articulateur semi adaptable Fig. 31 Traitement maxillaire Le traitement commencera par le maxillaire car le plan d’occlusion mandibulaire est acceptable (modification faite secteur 4 sur la prothèse amovible par soustraction au niveau des 45 et 46), cette arcade nous servira donc de référence Le couloir osseux chirurgical étant étroit, il n’est pas possible de mettre les implants en position idéale palatine, aussi la planification prévoit également la connexion de piliers angulés au niveau des implants antérieurs, afin de situer les puits d’accès aux vis de prothèse dans une position cingulaire Fig. 32 24 25 22/LEFILDENTAIRE.COM 26 27 28 29 30 31 32 |