Directeur de la publication Christian Fournereau - 02 97 24 81 30 chfournereau@lrpresse.fr Rédacteur en chef Jehan-Hubert Lavie - 06 42 55 47 92 jhlavie@lrpresse.fr Conseiller technique de la rédaction Thierry Porcher Conception graphique BecomeDesign contact@becomedesign.fr Mise en page Bertrand Bourn Ont collaboré à ce numéro Vincent Babilotte, Armand Charden, Frédéric Didelot, Alain Dubois, Jean-Michel Eich, Lionel Hadrot, Marc Le Gad, Aurélien Prévot, Rémy Sarrade, François Vielliard Revendeurs & professionnels Magalie Rous - 02 97 59 37 66 pros@lrmodelisme.com Publicité Denis Fournier Le Ray - 09 63 03 83 28 publicite@lrpresse.fr Inspection des ventes À Juste Titre/Manon Castel Tél. 04 88 15 12 47 - Fax 04 88 15 12 49 Responsable Petites Annonces Sophie Gautier - 02 97 24 01 65 Photogravure Photext Flashage/Impression Rectiligne (Feytiat - Haute-Vienne) ISSN > 1961-5035 CPPAP > 0418 K 89491 LR PRESSE SarlBP 30 104, F-56 401 AURAY Cedex Siège social : 2 rue de Suède, Auray Tél. : 02 97 24 01 65 Fax : 02 97 24 28 30 SARL au capital de 84 500 € RCS Lorient B.381289719 Principaux associés : Christian Fournereau, & Friedel Fournereau « Printed in France/Imprimé en France » En 1969, le chemin de fer faisait le grand écart ! Qu’y a-t-il de commun entre les CC 6500 et les locomotives Mallet du PO-Corrèze ? Présentes au sommaire de ce numéro de Ferrovissime, les unes comme les autres sont en activité sur les rails français en 1969. Les premières s’apprêtent à prendre en charge la traction des trains les plus prestigieux circulant sur l’Artère Impériale Paris/Lyon/Marseille. Les secondes terminent leur carrière sur un réseau à voie métrique établi en Corrèze, appartenant à la SNCF mais affermé à la CFTA. Les machines électriques CC 6500 symbolisent alors l’échelon ultime de la modernité dans le domaine du chemin de fer, tandis que les Mallet du PO-Corrèze semblent être l’expression vivante et pittoresque d’un passé ferroviaire qui achève de s’éteindre. En 1969, ces deux types d’engins de traction suscitent une passion d’une égale intensité. Leur aspect esthétique tellement différent n’est bien sûr pas étranger à cet engouement. Chacun fourbit ses armes. C’est avec le romantisme de son image qu’une locomotive à vapeur à voie métrique conquiert le cœur des amateurs. Quant aux CC 6500, le styliste Paul Arzens a su leur donner une silhouette racée, soulignée par une mise en couleurs qui marie mode et bon goût. Mais ce sont surtout leurs performances exceptionnelles – qui leur permettront d’abattre Paris/Bordeaux par la ligne classique en 3 h 50 à 151 km/h de moyenne sans dépasser les 200 km/h ! – qui vont soulever une vague d’enthousiasme. À côté, une locomotive Mallet offre des vitesses moyennes dix fois moins élevées. Mais qu’importe : la voie métrique du PO-Corrèze sait nous transporter dans un autre monde – celui des réseaux secondaires d’hier, qui faisaient corps avec les terroirs qu’ils desservaient. CC 6500 et Mallet du POC : l’année 1969 offre alors aux ferroviphiles un grand écart technologique qui excite les passions ! ◼ Rejoignez-nous aussi sur > Facebook < blog.ferrovissime.com rédacteur en chef COUVERTURE Grande photo : Paris-Saint-Lazare, juillet 1966, la 3-231 G 645 se met en tête du Rapide 121 à destination du Havre. Henri Daudonnet - Conception : BecomeDesign Pour connaître le point de vente le plus proche, allez sur le blog et cliquez sur |