Époque Times Montréal n°11-9 27 avr 2015
Époque Times Montréal n°11-9 27 avr 2015
  • Prix facial : gratuit

  • Parution : n°11-9 de 27 avr 2015

  • Périodicité : bimensuel

  • Editeur : La Grande Époque Inc.

  • Format : (279 x 559) mm

  • Nombre de pages : 12

  • Taille du fichier PDF : 2,3 Mo

  • Dans ce numéro : les infrastructures essentielles assaillies par les cyberattaques.

  • Prix de vente (PDF) : gratuit

Dans ce numéro...
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2 International 27 avril au 10 mai 2015 ÉpoqueTimes i ÉPOQUE TIMES Publié dans 35 pays et en 21 langues. À PROPOS DE NOUS Époque Times est une entreprise médiatique lauréate qui publie sur papier et en ligne dans 35 pays et en 21 langues. À Montréal, Époque Times est imprimé en français et en chinois, tandis qu’il est imprimé en anglais et en chinois à Toronto, Ottawa, Calgary, Edmonton et Vancouver. L’entreprise est indépendante et détenue par des intérêts privés. Des cyberattaques visent de nombreuses infrastructures essentielles à travers les Amériques Joshua Philipp/Époque Times Environ 200 personnes se sont réunies à Montréal pour souligner l’événement marquant les 200 millions de Chinois ayant quitté le Parti communiste chinois et ses organismes affiliés. Zhang Jingrong s’occupe d’un stand pour démissionner du Parti communiste chinois le 23 juin 2014 à Flushing, New York. Époque Times a d’abord vu le jour en chinois aux États-Unis en 2000, avec comme objectif de rapporter des nouvelles véridiques et non censurées sur la Chine. Nous étions les premiers à rapporter le camouflage de l’épidémie du SRAS et, à la suite de nos reportages, des enquêtes internationales sur les prélèvements d’organes forcés en Chine ont été lancées. Nous nous efforçons de fournir aux lecteurs une perspective informée et objective sur les sujets qui les préoccupent. Dans notre approche et notre contenu, nous défendons les valeurs humaines, les droits et les libertés universels. Pour notre entreprise, les intérêts de nos lecteurs passent avant tout, et ce, dans tout ce que nous faisons. ÉPOQUE TIMES MONTRÉAL 1099, rue Clark, bureau 2 Montréal QC H2Z 1K3 Téléphone : 514 931-0151 Télécopieur : 514-868-0843 DIRECTRICE ET RÉDACTION Pauline Paul pauline.paul@epochtimes.com PUBLICITÉ Maud Bertholet maud.bertholet@epochtimes.com MÉDIAS SOCIAUX Sonia Rouleau DISTRIBUTION John Halas Tirage : 10 000 exemplaires distribués gratuitement, en main et en présentoir, deux fois par mois au coeur de la ville de Montréal Abonnement : Pour vous abonner, svp téléphonez au 514-931-0151 ou veuillez vous rendre à nos bureaux. 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ÉpoqueTimes ne se tient pas responsable financièrement des erreurs typographiques ; textes, dates ou autres pouvant survenir dans les textes publicitaires, mais elle s’engage à reproduire la partie du texte où se trouve l’erreur dans une édition subséquente. Le journal se réserve le droit de refuser toute publicité ne convenant pas à sa politique. Nathalie Dieul/Époque Times 1111,10 44+.",e u _, Ethan Miller/Getty Images La centrale d’énergie solaire Ivanpah dans le désert de Mojave en Californie. Les cyberattaques visent les infrastructures essentielles comme les réseaux électriques. Deux cents millions de Chinois choisissent la liberté Joshua PhilippÉpoque Times Les infrastructures essentielles sont les systèmes qui assurent le bon fonctionnement d’un pays. Ce sont les réseaux électriques, l’approvisionnement en eau, les finances et les autres secteurs nécessaires au bon fonctionnement de la société et de l’économie. En 2014, près de la moitié de ces systèmes dans l’hémisphère occidental a été ciblée par des cyberattaques destructrices. L’entreprise de sécurité TrendMicro et l’Organisation des États américains (OEA) ont publié un nouveau rapport faisant état de 575 incidents dans toutes « les infrastructures essentielles principales dans tous les pays des Amériques ». Le rapport indique que 44% des répondants ont subi des attaques destructrices de leurs réseaux et 40% ont rapporté l’arrêt de leur système. Le rapport ajoute qu’« en général, la majorité des organisations sondées ont subi des tentatives de vol de leur information ». Plus de la moitié des répondants ont déclaré que les agresseurs avaient tenté de « manipuler des équipements » par l’entremise d’une cyberattaque. « Les exploitations qui peuvent affecter les infrastructures d’un pays sont habituellement infiltrées par des outils simples ou sophistiqués qui peuvent accéder à des appareils mobiles ou personnels afin d’infiltrer des secteurs importants comme les transports, l’énergie ou les systèmes financiers », affirme dans le rapport le secrétaire général adjoint de l’OEA, Albert Ramdin. M. Ramdin a souligné que 53% des répondants ont remarqué une augmentation des attaques de leurs systèmes informatiques en 2014 et 76% ont affirmé que « les cyberattaques des infrastructures deviennent de plus en plus sophistiquées ». Le problème pourrait être en fait beaucoup plus grave que rapporté. Plusieurs répondants ont mentionné être incapables de vérifier s’ils avaient été victimes ou non d’une attaque. « Les répondants démontrent que les attaques qui visent les infrastructures sont un danger imminent, car seulement une minorité d’entre eux affirme ne pas avoir constaté ce genre d’attaques », mentionne le rapport. « Les inquiétudes au sujet de ces menaces sont justifiées, ajoute le rapport, puisque les recherches démontrent que les attaques des infrastructures essentielles ont augmenté autant en nombre qu’en complexité et elles continueront d’augmenter à court terme. » Le budget annonce une nouvelle loi pour obliger les compagnies à divulguer les cyberintrusions Larry Ong Époque Times Depuis la publication des Neuf commentaires sur le Parti communiste par Époque Times en 2004, chaque jour des milliers, des dizaines de milliers et ensuite des centaines de milliers de Chinois ont commencé à démissionner du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées. Pour comptabiliser les démissions, le Centre Tuidang (« démissionner du parti » en chinois) a été mis sur pied et il rapporte que la barre des 200 millions de démissions a récemment été franchie. « C’est un jalon important, ça représente un bon nombre de gens », affirme en entrevue téléphonique David Tompkins, un porte-parole du Centre Tuidang. « Ça démontre que le mouvement Tuidang prend de l’ampleur en Chine et qu’il atteint tous les Chinois. » Le Parti communiste chinois (PCC) affirme qu’il a 85 millions de membres, ce qui porte à croire que la plupart des gens ont démissionné des organisations affiliées comme les Jeunes pionniers et la Ligue communiste jeunesse. Presque toutes les personnes ayant grandi en Chine en ont fait partie. Avec une population de près de 1,4 milliard, le mouvement Tuidang « a encore beaucoup de chemin à faire », estime M. Tompkins. Le nombre de démissions actuel est obtenu grâce à un processus rigoureux de vérification. Le Centre Tuidang reçoit environ 120 000 déclarations de démission quotidiennement. Chaque déclaration est révisée par des éditeurs qui filtrent les pourriels, les publicités, les mauvaises données et, parfois, les informations sur des fonctionnaires corrompus. Environ 10% des déclarations sont retournées à l’expéditeur afin d’être clarifiées et validées davantage. Le Centre Tuidang attribue un numéro unique aux utilisateurs dont les déclarations sont acceptées, soit environ 70% chaque jour, elles sont ensuite ajoutées au décompte officiel. Accumuler les démissions est une chose, mais M. Tompkins affirme que l’aspect le plus important est la manière dont Tuidang aide à libérer les Chinois. C’est ce processus qui est l’objectif de Tuidang et non pas la chute du PCC, estimet-il. « L’important ce n’est pas l’effondrement du PCC, mais bien la liberté de l’esprit. » En exemple, il mentionne la Russie qui « est retournée à un système de gouvernance ayant des traits similaires au communisme » une décennie après l’effondrement de l’Union soviétique. Toutefois, avec le mouvement Tuidang, « Les Chinois ont maintenant l’occasion de comprendre le vrai sens de la liberté », conclut M. Tompkins. Le PCC n’a jamais reconnu l’existence du mouvement Tuidang, mais cela ne veut pas dire pour autant qu’il n’intervient pas. Les gens qui parlent de Tuidang en Chine ou qui distribuent les Neuf commentaires le font à leurs risques et périls. Le 12 mars 2014 par exemple, Lu Yinxia a été condamnée à quatre ans de prison pour avoir distribué les Neuf commentaires et des informations sur Tuidang. Matthew Little Époque Times OTTAWA – Le gouvernement est avare de commentaires concernant des mesures législatives imminentes mentionnées dans le budget qui forceront certaines compagnies à divulguer les cyberintrusions dont elles sont victimes. Une porte-parole du ministère de la Sécurité publique déclare que ces mesures se concentreront sur « les systèmes essentiels sur lesquels dépendent les Canadiens au jour le jour ». Le budget mentionne ces nouvelles lois en une phrase à la page 327 du document de 518 pages. « À la suite de consultations, les exploitants des cybersystèmes essentiels seront tenus, en vertu de nouvelles lois, de mettre en œuvre des plans de cybersécurité, d’obtenir de solides résultats en ce qui a trait à la sécurité de leurs systèmes et de signaler les incidents liés à la cybersécurité au gouvernement du Canada », indique le budget. Le ministre des Finances, Joe Oliver, a déclaré aux journalistes qu’il ne pouvait discuter des détails de cette législation lors de la conférence de presse sur le budget le 21 avril dernier. Josée Sirois, porte-parole de Sécurité publique Canada, a écrit dans un courriel le 24 avril que « la législation imminente va s’appliquer seulement aux cybersystèmes du secteur privé qui sont réglementés par le fédéral ». Ces systèmes sont utilisés quotidiennement et doivent être protégés pour garantir la sécurité nationale et publique, a-t-elle déclaré, citant en exemple les secteurs de la finance et des télécommunications. Les exploitants de ces systèmes vont obtenir le soutien et les conseils du gouvernement, ils vont recevoir des outils de cybersécurité et ils vont être informés sur les menaces et les vulnérabilités, ajoute M me Sirois. Aucune date n’a encore été déterminée pour le dépôt du projet de loi, M me Sirois a écrit qu’il n’y avait aucune autre information disponible sur le sujet. « Une consultation transparente et inclusive va suivre le dépôt du projet de loi. Aucune obligation n’entrera en vigueur tant que le projet de loi n’aura pas été adopté et que la réglementation n’aura pas été développée et adoptée. » Le ministre des Finances, Joe Oliver, en conférence de presse pour le budget le 21 avril 2015 à Ottawa Matthew Little/Époque Times
ÉpoqueTimes 27 avril au 10 mai 2015 International 3 Un responsable chinois veut qu’on implique l’ex-chef de la sécurité dans les prélèvements d’organes Matthew Robertson Époque Times Un membre important d’un organe consultatif du Parti communiste chinois est allé sur les ondes d’une station de télévision dissidente pour qualifier l’exchef de la sécurité du régime « d’être malveillant » et pour dénoncer l’hécatombe causée par les prélèvements d’organes forcés. Ge Jianxiong, un membre du Comité permanent de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC), s’est entretenu avec New Tang Dynasty Television (NTD) le 10 avril. Ses propos surviennent au moment où la pression internationale continue d’augmenter à l’extérieur de la Chine pour faire la lumière sur les prélèvements d’organes dans le pays, où des dizaines de milliers de prisonniers d’opinion – principalement des pratiquants de la discipline spirituelle Falun Gong – sont soupçonnés d’avoir été tués pour leurs organes. Il n’est pas clair si cette pratique persiste, mais au cours des derniers mois Huang Jiefu, le plus haut responsable chinois en matière de transplantations, a promis que le régime tournait une nouvelle page et n’allait plus utiliser les prisonniers dans le couloir de la mort comme source d’organes. Quelques mois auparavant, M. Huang avait pourtant dit que les prisonniers seraient encore utilisés s’ils sont consentants. Les autorités n’ont jamais abordé la question quant à savoir si les organes de pratiquants de Falun Gong sont ou ont déjà été utilisés. NTD Ge Jianxiong, un membre du Comité permanent de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC), s’est entretenu avec New Tang Dynasty Television (NTD) le 10 avril 2015. « Gros tigre » Ge Jianxiong est l’un des 299 membres du Comité permanent de la CCPPC et il est aussi professeur d’histoire et de géographie à l’Université de Fudan. Dans les réunions officielles du Parti communiste, il a la réputation d’être un agitateur en quelque sorte (dans les limites permises par la dictature...), n’hésitant pas à couper la parole aux autres responsables qui radotent et en posant souvent des questions pointues sur des problèmes sociaux. NTD est pour sa part un partenaire média d’Époque Times reconnu pour son traitement incisif du dossier des droits de la personne en Chine. En entrevue avec la chaîne, M. Ge a appelé Huang Jiefu à aborder en détail les allégations visant Zhou Yongkang, l’exchef de la sécurité en Chine, concernant son implication dans les prélèvements d’organes sur des prisonniers. Zhou est la plus importante victime de la purge du président chinois, Xi Jinping, et il a récemment été accusé de factionnalisme et d’avoir mené des activités anti-Parti dans les médias semi-officiels. Zhou a accédé aux plus hauts échelons du Parti en bonne partie en raison de sa main de fer dans la persécution du Falun Gong, une politique conçue par son maître politique, l’ex-dirigeant du Parti Jiang Zemin. Les enquêteurs du Parti ont récemment transféré Zhou à la branche judiciaire et il a été accusé de subornation, d’abus de pouvoir et de divulgation des secrets d’État. Huang Jiefu a déjà été sous-ministre de la Santé et il est maintenant le directeur du Comité des transplantations d’organes, qui établit les politiques sur la question. Il est également de facto le porte-parole des politiques chinoises en matière de transplantations pour le public chinois et international. Dans un entretien avec la chaîne Phoenix Television de Hong Kong, M. Huang a déclaré qu’il y avait un « gros tigre », c’est-à-dire un haut responsable, qui faisait obstacle aux réformes. Quand on lui a demandé de qui il s’agissait, il a répondu : « C’est bien trop évident. Tout le monde connaît le gros tigre. Zhou Yongkang est le gros tigre ; Zhou était notre secrétaire politique et législatif, à l’origine un membre du Comité permanent du Politburo. Tout le monde sait ça. […] Donc, pour savoir d’où viennent les organes de prisonniers exécutés, n’est-ce pas évident ? » Discutant du système de transplantations d’organes, M. Huang a dit : « C’est devenu sale, c’est devenu embrouillé et difficile à résoudre, c’est devenu un sujet extrêmement sensible et extrêmement compliqué, essentiellement un sujet tabou. » Il est très rare pour des responsables toujours en poste de nommer publiquement et de critiquer les politiques d’un autre membre du Parti (un ex-membre dans ce cas-ci), et les propos de M. Huang ont généré de vives discussions sur l’Internet chinois. Franc conseiller Rien de cela n’est toutefois mentionné dans les récentes accusations portées contre Zhou Yongkang. « Si Zhou est en effet la personne responsable et s’il a en effet commis ces crimes, les accusations devraient aborder ces questions », estime Ge Jianxiong. Il a ensuite encouragé Huang Jiefu à fournir des informations sur le sujet aux procureurs chinois. M. Ge a la réputation d’être audacieux et il semblait s’exprimer en toute liberté après avoir été joint par un journaliste de NTD. Ses propos francs au sujet de Zhou s’apparentent à une série de déclarations ayant fait surface récemment dans des canaux officiels et semi-officiels au sujet des abus dans le domaine des transplantations en Chine. Communication opaque Avant les accusations de Huang Jiefu portées contre Zhou Yongkang, un exchirurgien militaire respecté, Jiang Yanyong, avait accordé une longue entrevue avec une chaîne de télévision de Hong Kong pour discuter du rôle des hôpitaux militaires dans l’industrie des prélèvements d’organes. Il a décrit l’évolution des prélèvements sur des personnes qui ne sont pas tout à fait mortes afin d’obtenir des organes de meilleure qualité. Jiang Yanyong avait attribué tous ces abus à une autre cible de la purge de Xi Jinping, l’ex-vice-président de la Commission militaire centrale, Xu Caihou, qui est décédé en mars 2015 d’un cancer de la vessie après avoir été relevé de son poste en disgrâce. Étant donné l’opacité de la politique et de la propagande en Chine, il est impossible de savoir si cette série de révélations fait partie d’une stratégie de communication du régime de Xi Jinping. Ce dernier cherche peut-être à laisser sous-entendre sa connaissance des prélèvements d’organes sur le Falun Gong, des crimes qui pourraient être attribués au groupe de responsables associé à l’exdirigeant Jiang Zemin, à l’origine de la persécution. Les déclarations pourraient également être aléatoires et sans objectif de propagande. « Un être malveillant » « La vérité du crime doit être révélée, si elle existe. Je crois que ce que Huang a dit établit la base factuelle. La loi devrait décider quoi faire avec ces faits », a déclaré Ge Jianxiong à NTD. « J’espère que Huang pourra formellement informer les autorités au sujet de ce qu’il connaît des [crimes] commis par Zhou, et tout le monde pourra connaître la vérité », a-t-il ajouté. M. Ge a mentionné les récents reportages chinois au sujet des expérimentations de prélèvements d’organes sur des personnes vivantes effectuées par les Japonais sur des prisonniers de guerre américains durant la Seconde Guerre mondiale. « J’estime que les êtres humains les plus méchants sont capables de faire quelque chose comme ça. Zhou Yongkang a-t-il fait quelque chose de semblable ? Malveillant comme il est, c’est bien possible. » « Quelle est l’étendue des prélèvements d’organes ? Quelle est la méthode ? Nous souhaitons que la vérité à ce sujet puisse être révélée et que ce ne soit plus seulement une question d’y croire ou non. La plupart des bonnes personnes ne peuvent imaginer quelque chose d’aussi pervers dans le monde, mais le mal est souvent bien réel et les puissances malveillantes sont capables de faire des choses auxquelles personne ne s’attend. De ce point de vue, il n’y a rien d’incroyable là-dedans », a-t-il dit. Feng Li/Getty Images Zhou Yongkang, l’ex-chef de la sécurité du régime chinois, a été impliqué dans les prélèvements d’organes forcés sur des prisonniers par le directeur des transplantations en Chine, Huang Jiefu. Jim Watson/AFP/Getty Images Xu Caihou, l’ex-vice-président de la Commission militaire centrale, en visite au Pentagone en octobre 2009. Xu a été impliqué dans les prélèvements d’organes forcés par un ex-chirurgien militaire.r. : r_2r.x r_ :r.: : _ : r_z r xrs : _: : s r_ : r_ : r_ : r_ : r_xrs r_2r.-x r_:rs r x r rxa 1.1 r_ :r.x r_ : x.x n r x r x s a r_x r_ : r r r_ : r :r.xr.x r_ :r. : zxr. : r_r.r. : r_r.r. : r_ :r.x Beo Ouéhec Inc. MM 1 Entreprise de climatisation Licence : RBQ 8350-7913-18 ; CCQ ; ACQ-06-3333 ; AECQ : 561-541 Tél : (51.4) 6571658 f (514) 651-7293 Nouveaux, modèles Site web : www.bcocanada.com Adresse : 4216 Rue Frontenac, Montreal, QC, H2H 2M3 1 Climatiseur mural Combinaison 1 utilité, 2utilités, 3 utilités et 4 utilités intérieures (une seule utilité extérieure, la 4 utilités intérieures) 2 Climatiseur central A fonctionnement silencieux, haute efficacité, économisez jusqu'à 40% sur la L consommation d'énergie) onduleur DC Inverter : R410A SEER 13-20) Compresseur TOSHIBA : garantie 5 â 10 ans) Pièces et main d'oeuvre garantie 1 â 5 ans) Climatiseur mural : 9000BTU, 12000BTU, 18000BTU, 24000BTU,27000BTU) Climatiseur thermopompe central : 1.5T a 5I) Climatiseur de toit : 5T à 2OT turn to the experts Installation du climatic seurEnergy Stars BCO, subventions geuvernementaleside 650$) HIBA Puron r L"SLSiiL'S L's Lr LïL-ilL's ENERGY STAR L i L-s L-i Ls i-s a-s x-s x's ta VS i:S L'srs Ls VS L'x xS VS VI TS LU'x2 L'Y r:s L'S x's iLi x'S i"S L-s s-s i-r i-s i-s c-s i-a LSYS "rn -6- 7-78



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