Partenaire Média Publishing Rédaction et Publicité – NOUVELLE ADRESSE – 4, rue Tronchet, 75008 Paris www.partenairemedia.com Directeur de la publication : Antoine HARMEL aharmel@partenairemedia.com Tél. : +33 (0) 1 80 49 10 40 Rédaction Contact : redac@edi-mag.fr Rédacteur en chef : Vincent VERHAEGHE Tél. : +33 (0) 1 80 49 10 35 verhaeghe@edi-mag.fr Rédacteur en chef adjoint : Pierre-Antoine MERLIN Tél. : +33 (0) 1 80 49 10 34 pamerlin@edi-mag.fr Rédacteur en chef adjoint : Thierry BIENFAIT Tél. : +33 (0) 1 80 49 10 33 tbienfait@edi-mag.fr Secrétaire de rédaction : Sandrine DESROSES Tél. : +33 (0) 1 80 49 10 31 sdesroses@partenairemedia.com Directeur artistique : Sébastien BOROWICZ Tél. : +33 (0) 1 80 49 10 32 sborowicz@partenairemedia.com Ont collaboré à ce numéro : Benoît HUET (Cahier Convergence) Alain GODET (Cahier Grossistes) Publicité/Advertising dpt Directeur commercial : Antoine HARMEL Tél. : +33 (0) 7 60 56 01 66 aharmel@partenairemedia.com Directrice de la publicité : Katia FASSEUR Tél. : +33 (0) 7 60 56 28 08 kfasseur@partenairemedia.com Éditeur/Publisher Cette publication est éditée par Partenaire Média Publishing, SAS au capital de 10 000 euros. Principal associé et président : Antoine HARMEL Directrice générale : Cécile LENGYEL Durée : 75 ans à compter du 5 septembre 2010 524 545 027 RCS Paris N°de SIRET : 524 545 027 00012 Conformément à la législation en vigueur, « l’E.D.I. » a déclaré ses fichiers de travail auprès de la Commission nationale de l’informatique et des libertés. La publication peut céder à des tiers l’utilisation de ces fichiers mais vous pouvez faire opposition à cette possibilité. Vous avez également un droit d’accès et de modification aux informations que nous stockons. Toute reproduction, représentation, traduction ou adaptation, qu’elle soit intégrale ou partielle, quel qu’en soit le procédé, le support ou le média, est strictement interdite sans l’autorisation de la société éditrice, sauf cas prévus par l’articleL.122-5 du Code de la propriété intellectuelle. La rédaction ne retourne pas les documents, formulaires, textes, photos ou autres éléments qui lui sont spontanément adressés. Membre adhérent Une publication du groupe : Publishing N°ISSN : 2112 – 6534 Siège social 11, rue de Sèvres 75006 Paris - France Dépôt légal à parution Imprimé dans l’Union européenne © Copyright : HBD-ÈFDÉ-7/11 NAMASTE Le souverain et les vassaux Édito Sur le papier, l’idée semble imparable. Que ce soit CloudWatt avec Orange et Thales ou Numergy avec SFR et Bull, le fait que la France puisse maîtriser sa propre offre de services cloud pour héberger les données des entreprises nationales est même indispensable ; face au Patriot Act qui permet aux renseignements américains d’accéder à tout moment aux données stockées au sein de data centers appartenant à des groupes made in USA (Amazon et Google en tête), un minimum de protectionnisme numérique est de mise. L’État n’a donc pas hésité à investir à hauteur de 75 millions d’euros par projet, une somme importante qui couvrira environ le tiers du budget prévisionnel des deux clouds souverains. Certains voient toutefois d’un mauvais œil cet interventionnisme étatique. Ceux qui critiquent le côté purement financier, arguant que l’argent des impôts devraient servir à autre chose, se trompent de colère. Le financement de CloudWatt et Numergy se fait grâce au Grand Emprunt, dont l’un des objectifs était justement de réduire la fracture numérique française. En revanche, on comprend bien mieux les réticences de ceux qui considèrent les clouds souverains comme une vraie menace, c’est-à-dire les entreprises françaises proposant déjà des offres cloud. Les Acropolis, OVH, Ikoula et autres Cheops, qui ont investi depuis des lustres dans ces technologies, vont tout à coup de se retrouver en concurrence avec deux grosses structures créées ex nihilo, mettant en péril leur propre business. Comme le souligne Samir Koleilat, patron d’Acropolis, « doit-on réellement considérer comme patriotique l'idée que l'État et les investisseurs institutionnels censés investir dans des sociétés innovantes et créatrices de richesses prennent le risque de miser 150 millions d'euros dans un défi technologique et économique pour lequel aucune des parties engagées ne semble préparée ? ». A-t-on vraiment besoin de « nationaliser » le cloud ? Pas si sûr. Il aurait peut-être été préférable de soutenir ces acteurs français déjà installés, d’autant que si l’industrie française se réduit comme peau de chagrin, l’Hexagone reste une terre d’accueil de premier ordre pour les data centers et doit pouvoir aussi peser au niveau européen dans ce secteur. Index des annonceurs ACTN:pp. 6-7 Agence CORELIO : encart jeté fichier VIP Agence SCOR : p. 79 AOC : p. 39 APC : p. 53 Aressy : encart jeté fichier VIP Aressy : étude Regards Croisés p. 121 ASF Consulting : publireportage p. 55 Asus : p. 93 Aten : p. 49 Athena Global Services : p. 133 Aver : p. 91 Axis & Agis : p. 137 Barco : p. 17 Bosch : p. 29 et publireportage p. 71 Brother:pp. 41 et 43 Buffalo : p. 99 Canon:pp. 19 et 77 Cherry : p. 95 Ciena : p. 27 D-Link : p. 83 Dell Partner Direct:pp. 45 et 127 Eaton : 3 e de couverture ETC Metrologie : p. 11 Fujitsu : 4 e de couverture GreenPriz : p. 129 IBM : p. 9 Ingram Micro : 2 e de couverture etpp.3, 67, 124 et 140 Innovaphone : p. 123 Intel:pp. 35 et 37 Iomega : publireportage p. 33 Kyocera : p. 23 Lexmark : p. 61 Lian Li : p. 141 Microsoft:pp. 12-13 et 57 Mobotix : p. 73 Netgear : p. 112 OKI : p. 31 Panasonic : p. 89 Partner VIP : p. 131 PCA France : p. 85 QNAP : p. 109 Vincent Verhaeghe Rédacteur en chef verhaeghe@edi-mag.fr Reed IT Partners : p. 104 Ricoh : p. 51 ScanSource:pp. 75 et 97 Sennheiser : p. 101 Shuttle : p. 103 Site de « l'EDI » : p. 111 Soft-Carrier : p. 111 Sony:pp. 47 et 81 SQP : p. 139 Suza : p. 143 Symantec : p. 25 Synology : p. 107 Tech Data:pp. 63 et 117 Toshiba : face édito p. 4 TP-LINK : p. 115 Tracor : cavalier Trend Micro : p. 21 Watsoft : p. 134 XCom Salon Med IT : p. 145 Xerox : p. 59 EDI n°23/Novembre 2012 5