COTE La Revue d'Azur n°171 novembre 2008
COTE La Revue d'Azur n°171 novembre 2008
  • Prix facial : 3 €

  • Parution : n°171 de novembre 2008

  • Périodicité : mensuel

  • Editeur : Les Editions COTE

  • Format : (240 x 300) mm

  • Nombre de pages : 180

  • Taille du fichier PDF : 34 Mo

  • Dans ce numéro : urbanisme, perspectives d'avenir

  • Prix de vente (PDF) : gratuit

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SPECTACLES URBAN 138 ÔTE URBAN C SPECTACLES par Caroline Stefani L’Ensemble Sillages invité du festival Manca. Les formes d’art s’unissent au festival Manca Art forms unite at the Manca festival « LA FABBRICA ILLUMINATA », FESTIVAL INTERNATIONAL DES MUSIQUES D’AUJOURD’HUI. RENSEIGNEMENTS AU 04 93 88 74 68. www.cirm-manca.org La musique contemporaine « classique » sera à l’honneur de la 29 e édition du festival Manca, du 14 au 22 novembre à Grasse, Nice et Monaco. Une alliance entre le cinéma et la musique ouvrira le bal, avec la présentation au Théâtre de Grasse de Symphonie Diagonale, une création originale qui unit le travail du compositeur Alexandros Markéas au film de Lionel Escama. Ce road movie musical et poétique sera rythmé par un dialogue entre le compositeur et des musiciens traditionnels, le tout sublimé par les artistes de l’ensemble Sillages. Le lendemain, direction l’Opéra de Nice où plus de deux cents étudiants des conservatoires des Alpes-Maritimes et de l’Académie de Musique de Monaco interpréteront une œuvre de Salvatore Sciarrino. Au programme du reste de la semaine : quatuor, récital de piano et autres concerts de musique de chambre. Tous les bons moments ont une fin, celle des Manca sera célébrée en beauté dans la salle Garnier de l’Opéra de Monte-Carlo. L’orchestre philharmonique de la Principauté y interprétera des grands classiques du répertoire contemporain (Iannis Xenakis, Luciano Berio, Fausto Romitelli, Gérard Grisey). Ce sont au total vingt compositeurs et un cinéaste, de huit nationalités différentes, qui seront les acteurs de ce festival proposé par le Centre National de Création Musicale (CIRM). Nouveauté 2008 : une billetterie en ligne permet de se procurer des places en quelques clics sur le site du CIRM. Touche d’originalité supplémentaire, une exposition de Philippe Hurst rassemble jusqu’au 25 novembre, à la galerie des Dominicains, une cinquantaine de maquettes d’affiches sur le thème Manca 2008. -/Contemporary classical music is in the limelight at the 29th edition of the Manca festival on from 14 to 22 November in Grasse, Nice and Monaco. An alliance between cinema and music opens the ball with a performance at Grasse’s theatre of Symphonie Diagonale, an original piece that links the work of composer Alexandros Markéas with Lionel Escama’s film. The musical and poetic road movie is accompanied by a dialogue between the composer and traditional musicians, sublimated by the artists of the Sillages ensemble. The following night at Nice’s opera house 200 students from Alpes-Maritimes conservatoires and Monaco’s academy of music are performing a piece by Salvatore Sciarrino. The rest of the week there’s a programme of quartet, piano recital and chamber music concerts. All good things come to an end and Manca’s will be celebrated in style in the Monte-Carlo opera house’s Salle Garnier where the Principality’s philharmonic orchestra is playing great classics from the contemporary repertoire, by Iannis Xenakis, Luciano Berio, Fausto Romitelli and Gérard Grisey. All in all 20 composers and a filmmaker ofeight different nationalities are taking part in this festival organised by the CIRM (Centre National de Création Musicale : national musical creation centre). For 2008 a new online ticket office has been setup so you can buy tickets by just clicking on the CIRM website. An additional original touch is an exhibition by Philippe Hurst that until 25 November displays around 50 models for posters on the Manca’s 2008 theme, at the Dominicains gallery. novembre 2008 www.cotemagazine.com DIDIER OLIVRE AZUR les rendez-vous du mois/what to do this month The Do, la révélation pop rock française de l’année, le 13 novembre au Théâtre Lino Ventura, suivi de près par le très « arty » Gonzales. Le TLV, la petite salle qui monte, qui monte… A little venue getting bigger and bigger THÉÂTRE LINO VENTURA, 168 BOULEVARD DE L’ARIANE À NICE. RENSEIGNEMENTS AU 04 97 00 10 70. www.tlv-nice.org Le Théâtre Lino Ventura a le vent en poupe. Avec un taux de remplissage de 100%, une programmation multiple parsemée de stars en puissance, cette salle de seulement 700 places, surfe sur l’ensemble des tendances musicales. Un éclectisme prôné par Romain Vigna depuis son arrivée, en 2005, aux commandes du théâtre Lino Ventura (TLV). Le mois de novembre ne déroge pas à la règle : « On attend The Do, l’événement pop rock (français) de l’année, suivi par les rythmes afro funk de Femi Kuti et les accords de Lucky Peterson, le roi du blues. Le mois se terminera par le show du sulfureux Gonzales, un homme qui reste, selon Romain Vigna, l’archétype de l’artiste underground qui se transforme néanmoins en crooner dans son dernier album. » Des artistes régionaux se produisent en première partie, et des chanteurs de talent, trop peu diffusés, sont régulièrement programmés. « Ce mois-ci, Alela Diane, une chanteuse folk américaine qui a cartonné, sans véritable promotion, est à découvrir sans faute. » Le directeur annonce sans prétention mais débordant d’enthousiasme que le TLV « s’est hissé à la première place des salles de musique actuelles de moyenne capacité, au sein du département ». Loin d’être le hasard, c’est le travail et la détermination de Romain Vigna qui l’explique. Son objectif est atteint : une programmation ambitieuse et l’accueil d’associations dynamisent un quartier trop souvent oublié. Prochainement, le TLV sera une antenne du Printemps de Bourges 2009. Aucune hésitation possible, précipitez-vous dans la petite salle niçoise qui voit les choses en grand ! -/Théâtre Lino Ventura has the wind in its sails, with a seat-occupancy rate of 100%. The venue seating just 700 people offers a varied programme dotted with not-to-be-missed stars and providing something for everyone as regards music trends, an eclecticism promoted by Romain Vigna ever since he took over as Théâtre Lino Ventura (TLV) director in 2005. This November is no exception to that rule : « We’ve got The Do, this year’s French pop rock phenomenon, followed by Femi Kuti’s Afro funk and blues king Lucky Peterson. The month ends with a show by the sultry Gonzales who, » Romain Vigna considers, « is the archetypal underground artist even if he does turn into a crooner on his latest album. » Regional musicians play support and talented singers who don’t performoften enough regularly take to the stage too. « This month we have Alela Diane, an American folk singer who’s become extremely popular without any real promotion and is well worth discovering. » Enthusiastically but unpretentiously the director announces that the TLV « has bagged first place in the list of medium-sized venues programming music of today in the Alpes-Maritimes ». That hasn’t happened by chance, it’s due entirely to Romain Vigna’s hard work and determination. He’s attained his goal of putting on an ambitious programme and hosting associations so as to energise a too-often neglected part of the city. Next in line is the TLV as an offshoot of the 2009 Printemps de Bourges music festival. So don’t even think of hesitating, head straight for the little Nice music venue with very big ideas !
Par Hélène Jourdan-Gassin Les élus de la Banque -/Banking’s chosen artists DU 25 NOVEMBRE 2008 AU 6 JANVIER 2009, ATELIER SOARDI, 8 RUE DÉSIRÉ-NIEL, NICE Enfin une bonne nouvelle venant du monde de la finance, la Fondation HSBC pour la photographie a choisi ses lauréats pour l’année 2008. Ce sont Aurore Valade et Guillaume Lemarchal. Après Bordeaux et Paris, c’est au tour de Nice de présenter les œuvres de ces artistes de la génération montante de la photographie, auxquels la Fondation HSBC offre aussi leur première monographie. Ce choix met en relief deux approches différentes, voire opposées de la réalité : le particulier chez Valade, l’universel chez Lemarchal. Aurore Valade construit des saynètes dans lesquelles des personnes interprètent leur propre rôle dans des intérieurs surchargés de détails, de couleurs. L’acte photographique est conçu ici comme une véritable performance qui demande du temps : celui de la rencontre, de la mise en scène et au final, de la prise de vue. Ces petits univers ainsi reconstruits jouent sur deux tableaux : celui de la réalité évoquée par le positionnement des personnages, par les objets qui les entourent, et celui du rêve donné par le côté figé, artificiel des situations. Autant les choses s’entrechoquent dans le langage photographique de Valade, autant le silence est la marque du travail de Guillaume Lemarchal. Ses paysages froids et désertiques sont des mondes d’où l’homme est absent, mais qu’il a scarifiés par son intervention néfaste sur la nature : « Tous ces lieux deviennent pour moi de vastes champs de bataille où passé, présent et imaginaire se tissent en miroir d’une humanité. » -/HSBC’s photography foundation has namedits 2008 prize winners : Aurore Valade and Guillaume Lemarchal. And after Bordeaux and Paris it’s now Nice’s turn to exhibit the work of these two artists in theup-and-coming generation of photographers, in their first solo exhibitions that the HSBC foundation has made possible. The foundation’s choice highlights two very different, even opposing, ways of seeing reality : individual in Valade’s case and universal in Lemarchal’s. Aurore Valade constructs sketches in which people play their own roles in interior settings overloaded with detail and colour. The act of photographing is here conceived as a veritable performance requiring time, for the meeting, for the staging and finally for actually taking the photograph. Her little worlds thus reconstructed produce a dual evocation : of reality created by the positioning of the people and the objects around them and of dreams through the frozen, artificial nature of the situations. Silence is as much the mark of Lemarchal’s work as the way things clash is Valade’s photographic language. His cold, barren landscapes are worlds in which man is absent but that he has scarred through his harmful intervention in nature. « Êtes-vous bien adapté à la vie moderne ? » « Are you welladapted to modern life ? » DU 14 NOVEMBRE 2008 AU 3 JANVIER 2009, GALERIE NORBERT PASTOR, RUE VALPERGA, NICE Avec ce titre en forme d’interrogation, Anne Gérard nous questionne sur le regard que nous portons sur l’art et par là même elle s’interroge sur sa propre pratique picturale. Qu’est-ce que peindre ou dessiner aujourd’hui ? Elle y répond en refusant la tyrannie du nouveau à tout prix pour privilégier l’intime, l’infime, le quotidien, sujets récurrents de ses ART les rendez-vous du mois/what to do this month Anne Gérard s’expose à la galerie Norbert Pastor. Photographie d’Aurore Valade, lauréate 2008 de la Fondation HSBC pour la photographie. recherches. Elle voit dans son goût à peindre les objets dans ce qu’ils ont de plus familier, de plus banal, un rappel au temps qui passe, à l’usure, à l’impermanence ; des memento mori modernes, nous dit-elle. Vanité, tout étant Vanité, Anne Gérard, loin de faire chanter les sirènes de la séduction comme Damien Hirst, par exemple, avec ses crânes incrustés de pierreries, emploie pour nous rappeler la destruction de la matière, la brièveté de la vie, ces signes modernes qui nous mettent en garde contre un danger, contre la mort : sigles indiquant la toxicité de certains produits, lignes à haute tension, voies d’évacuation, etc., plutôt que le sablier, la bougie qui se consume, les pétales d’une rose qui se fane, apanage des Vanités de la peinture ancienne. Elle s’attache à ne rien laisser pour compte, ni les modèles ni les supports. Les objets les plus usuels du quotidien sont croqués, avec autant d’attention que pour la plus belle des odalisques, sur la toile, le papier aussi bien que sur les surfaces maculées de tables d’école, les moules à tarte, le linge de maison, les cartons d’emballage… -/With this interrogative title Anne Gérard questions us about the way we look at art and through that questions herself about her own pictorial practice. What is painting or drawing today ? She responds by refusing the tyranny of the new-at-any-price in order to privilege the intimate, the minute and the everyday, the recurrent subjects of her research. Vanity, all is vanity, but to remind us of the destruction of matter and the brevity of life Anne Gérard, far from making the sirens of seduction sing like, for example, Damien Hirst with his diamond-encrusted skull, employs those modern signs that warnus of danger and death – signs indicating toxic substances, high-tension electricity lines, etc – rather than the hourglass, the candle burning down or the fading rose petals that painters of old used to symbolise the vanities. She strives to leave nothing out of the picture, neither models nor supports. The most ordinary everyday objects are detailed with as much attention as the loveliest of odalisques, on canvas or paper but just as easily on the stained surfaces of school desks, on pie dishes, on household linen and on cardboard packaging. Restaurant du Thêatre National de Nice L’Etage Dîner avant ou après les spectacles du T.N.N. Cocktail ou organisation de réception Renseignements, réservation 04 93 01 49 22 novembre 2008 www.cotemagazine.com ART URBAN 139



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