Rêvede Cappadoce Al’aube, lorsqu’une centaine de ballons multicolores flirtent avec les paysages arides, habitéspar des colonnes en tufsculptées parl’érosion, on assisteàunspectacle presque irréel, onirique. Embarquementimmédiat àbordd’une montgolfièrepourdécouvrir la Cappadoce,virtuellementpourl’heure. Göreme. 5h30. Unmini-van passe chercher les clients des hôtels qui ont réservé unvol en montgolfière. Cette activité, démarrée il yaune quinzaine d’années, aconnu untel engouement touristique qu’elle est même devenue le symbole de la région. « Il yalevol en ballon en Cappadoce et le volenballon TEXTE JASMINA SLACANIN ailleurs, c’est complètementdifférent », prévient Nizamettin Odabaş (59 ans), guide francophone quivit dans le village d’Avanos non loin. Toutes les montgolfières partentàla mêmeheure et ne volentqu’une fois par jour, tôt le matin, si la météolepermet. « Le vent ne doit pas dépasser les 10, En plus de son activité hôtelière et agricole Murat Yavuz est pilote de montgolfière. 60 Coopération N°53 du 28 décembre 2020 |