', -il (,:,4., I, r r 1,,. , r1 ; "., 'r'. `{.. ".. y ;'l',, rx'=":72...âw,.z...':- -. 4'-4.:‘,.,'',...'. T,ti. + `-*. rati !'"'J l }. ÿ.2. 1., +.f.. JAtr.^..1,.}ti.{ +.'*,.. Voici d’abord quelques images du site de l’observation de 2004. En haut à gauche : À notre arrivée sur le site vers 04 h 30, le ciel était complètement couvert de nuages… En haut à droite : Par miracle, au lever du soleil, quelques ouvertures commencent à se faire dans les nuages… En bas à gauche : …et rapidement, tout le ciel s’est dégagé. Cette image présente une vue d’ensemble du site d’observation. En bas à droite : Une vue de l’autre coté du terrain d’observation. Détection et estimation de l’amplitude de l’effet de la goutte noire — Images de 2004 Nos observations de 2004 nous ont permis d’élaborer un site Web qui traite de plusieurs aspects de ce transit de Vénus devant le Soleil [1]. En plus, un article spécialisé a été monté grâce à cette belle collaboration du groupe, et fut publié dans le Journal de la SRAC [2]. Dans ce document, des images du transit de 2004 prises par André Gendron et Gilles Guignier ont été utilisées, de même que des images prises par le satellite TRACE (Transition Region And Coronal Explorer) qui montrent [1] Le site Web est toujours actif et il est une source de référence : « Le transit de Vénus devant le Soleil le matin du 8 juin 2004 », Les Saisons du ciel http://astrosurf.com//stog/Travaux-Recherches-%c9tudes/Transit_Venus/transit_venus.htm [2] Duval, M. et coll. « The black-drop effect during the transit of Venus on June 8, 2004 ». Journal of the Royal Astronomical Society of Canada, Vol. 99, No. 5 (octobre 2005), p.170–176 http://articles. adsabs.harvard.edu/abs/2005JRASC..99..170D aussi l’effet de la goutte noire (GN). On conclut par un modèle, principalement développé par Michel Duval, qui semble bien expliquer le phénomène : il s’agit de halos de diffraction (fonction d’étalement du point ou PSF) tout autour des images de Vénus et du Soleil, qui faussent notre perception des disques réels de Vénus et du Soleil. Ces halos, en se superposant à l’approche des contacts II et III, s’assombrissent puisqu’il s’agit en fait des disques réels de Vénus et du Soleil qui paraissent plus petits à l’observation à cause de l’étalement de l’image—voir image explicative en haut à droite de la page suivante. Ces halos sont un des facteurs qui causent l’effet observé de la goutte noire ! Plus les conditions d’observation sont mauvaises et plus l’effet est accentué. En bref, disons que les limites de la qualité optique du système utilisé, ajouté à la qualité 16 Astronomie-Québec Mars-avril 2013 |