20 minutes Genève n°2023-03-23 jeudi
20 minutes Genève n°2023-03-23 jeudi
  • Prix facial : gratuit

  • Parution : n°2023-03-23 de jeudi

  • Périodicité : quotidien

  • Editeur : 20 minutes SA

  • Format : (230 x 300) mm

  • Nombre de pages : 24

  • Taille du fichier PDF : 10,8 Mo

  • Dans ce numéro : la rue rêve de faire sauter Macron.

  • Prix de vente (PDF) : gratuit

Dans ce numéro...
< Pages précédentes
Pages : 2 - 3  |  Aller à la page   OK
Pages suivantes >
2 3
2 Actu JEUDI 23 MARS 2023/20MINUTES.CH 20 secondes Vers une autre grève VAUD Les syndicats ont claqué la porte d’une réunion organisée hier avec le Conseil d’État pour négocier l’indexation des salaires des secteurs public et parapublic. Ils exigent une pleine indexation, ce que refuse le gouvernement. Une 6e journée de grève est envisagée. Resserrer les liens BRUXELLES Viola Amherd, cheffe de la Défense, a rencontré hier le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg. Au programme : l’amélioration de la « coopération dans les domaines d’intérêt mutuel ». En revanche, la neutralité de la Suisse n’a pas été abordée. Flambée de cas de gale GENÈVE Depuis janvier, les HUG ont traité 51 malades frappés par la gale, trois fois plus qu’à la même période en 2021 et 2022, rapporte la « Tribune de Genève ». La gale provoque de fortes démangeaisons. Elle se transmet par contact avec les vêtements ou la peau. Médocs au compte-goutte Dès aujourd’hui, pharmaciens et médecins sont invités à ne délivrer que la quantité nécessaire des médicaments touchés par une forte pénurie. Il s’agit d’éviter que des patients reçoivent des emballages plus grands que ce dont ils ont besoin pour leur traitement et que le surplus soit éliminé, alors qu’il pourrait profiter à d’autres patients. Seule solution : la tronçonneuse TESSIN Comment éliminer le palmier chanvre, arbre d’origine asiatique qui s’est propagé dans le canton et met en danger la biodiversité ? La tronçonneuse, estime l’Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage, qui a récemment tiré la sonnette d’alarme. En termes de temps et de coût, une coupe au ras du sol est la méthode la plus efficace pour s’en débarrasser, relate l’« Aargauer Zeitung ». L’exotique palmier chanvre envahit le Tessin. –M. CRIVELLI/WSL Ils ne veulent plus de hausses de loyer sans l’aval de l’État BERNE La gauche veut un gel des loyers. Ce serait aux proprios de prouver désormais qu’une augmentation n’est pas abusive. C’est une proposition choc que vient de lancer le groupe socialiste aux Chambres pour freiner la hausse des loyers qui pèse toujours plus sur les ménages. Il demande notamment un moratoire sur les hausses de loyer abusives, même si le taux hypothécaire de référence grimpe, par exemple. Ce gel s’appliqueraittemporairement, jusqu’à ce qu’un contrôle des loyers de la part des communes et des cantons soit introduit, en particulier dans les villes et les zones touristiques. Le policier tient en joue le suspect qui veut sortir de l’auto. –DR Cette scène peut être vue (et entendue) sur notre app. La Suisse compte environ trois millions de locataires. –GETTY L’idée du PS est de renverser le système actuel. Aujourd’hui, quand un loyer est jugé abusif, c’est aux locataires de le prouver, en contestant notamment Une obligation déjà en vigueur Du côté des propriétaires, le conseiller national Olivier Feller (PLR/VD), également directeur de la Chambre vaudoise immobilière, rappelle que les bailleurs doivent déjà notifier les hausses de loyer via un formulaire officiel le loyer initial. Mais vu les démarches, peu se lancent, déplore le conseiller national Christian Dandrès (PS/GE), également avocat à l’Association de défense des locataires. Certains bailleurs en profitent. Conséquence : rien qu’en 2021, 10,5 milliards de francs de loyers ont été payés en trop. « Le PS veut que ce soit dorénavant au bailleur de démontrer que la hausse de loyer Fuyard interpellé à grand renfort de cris VALAIS Une scène impressionnante tournée lors de l’interpellation d’un suspect refait surface sur les réseaux sociaux, deux ans après. On y entend un échange de cris entre un policier et un fuyard accidenté tentant de sortir de sa voiture renversée sur le flanc. L’agent hurle : « Reste dans le véhicule ! » et l’automobiliste répond : « Mais ça fume ! », faisant allusion au début d’incendie qui embrase son véhicule. « Reste dans le véhicule ou je tire ! » rétorque le policier. La scène date du 7 février 2021 et s’est déroulée près de Sion. Un Français de 26 ans sous le coup d’un mandat d’arrêt avait été pris en chasse sur l’A9. Il avait fini par faire une embardée. La police valaisanne juge que les cris de son agent sont justifiés. –RMF et en préciser le motif. « Si le locataire n’est pas d’accord, il peut saisir une commission de conciliation, démarche simple et gratuite. » Et si aucun arrangement n’est trouvé, il peut alors saisir le tribunal, rappelle l’élu vaudois. envisagée ne lui procurerait pas un rendement abusif », explique le Genevois. Concrètement, le propriétaire devrait remplir une demande, en y adjoignant les pièces qui montrent qu’il est en droit d’augmenter le loyer, et ensuite ce serait aux autorités de contrôler si la hausse est justifiée. Les appartements de luxe ne seraient pas soumis à cette procédure. –CHRISTINE TALOS Jeune tué dans une avalanche MEIRINGEN (BE) Une avalanche a fait un mort et un disparu, mardi après-midi. Elle s’est produite au moment où ces deux membres d’un groupe de randonneurs à skis passaient la Gstelliwang. Les secours ont rapidement retrouvé le corps sans vie d’un Britannique de 18 ans qui résidait dans le canton. Des recherches ont lieu depuis mardi afin de retrouver la deuxième personne emportée par la coulée.
JEUDI 23 MARS 2023/20MINUTES.CH La secousse 4,3 C’est la magnitude du séisme qui a surpris les habitants de Haute-Ajoie (JU), hier aprèsmidi. Il s’agit du plus important qu’ait connu la région en un siècle. La secousse, qui a été ressentie 150 km à la ronde, ne semble pas avoir fait de dégâts sérieux. La police a indiqué n’avoir reçu aucun appel. Hausse des prix déjà annoncée ÉLECTRICITÉ Un ménage moyen doit s’attendre à une hausse annuelle d’au moins 54 francs de sa facture d’électricité dès 2024. C’est ce qu’a annoncé hier Swissgrid, société qui exploite le réseau et assure le transport du courant vers les consommateurs. Sa part – qui représente moins de 10% de la facture – va doubler afin de répercuter « les coûts des réserves d’électricité de la Confédération sur les consommateurs ». Les tarifs des distributeurs, eux, ne seront pas connus avant l’automne. GENÈVE À la douane, des voyageurs ont réglé de leur poche la somme réclamée à leur chauffeur. Trajet jusqu’au bout des nerfs pour une trentaine de passagers d’un bus, lundi. Parti à 14h25 de Genève, le véhicule devait arriver à Grenoble à 17h. Mais il n’en a rien été, comme en témoigne, dépité, un professeur d’architecture qui devait rallier la ville française pour son travail. « Nous avons été bloqués à la frontière de Thônex-Vallard, dit-il. La taxe poids lourd n’avait pas été payée préalablement. » Montant exigé par la douane suisse : 25francs pour la redevance et 100francs d’amende. Des sommes qui devaient être réglées pour laisser repartir le car affrété par les compagnies Dibiasi et BlaBlaCar. « Ni l’une ni l’autre ne voulait payer, pas plus que le chauffeur », poursuit le voyageur. Selon lui, le conducteur se serait même fortement disputé en italien avec ses employeurs au téléphone. Finalement, ce sont les passagers qui, mis au courant de la situation et las d’attendre, se sont cotisés pour payer les frais. « Le chauffeur était désolé », relate l’enseignant. Le bus a pu reprendre la route à 16h et arriver vers 19h à Grenoble. « Je devais y être à 17h30 pour une Actu 3 Les passagers se cotisent pour que leur autocar reparte Assaillant au marteau en procès Le procès de l’agresseur du gouverneur de la Banque de France s’est ouvert hier au Tribunal pénal de Bâle- Ville. Ce Suisse de 40 ans est accusé d’avoir attaqué François Villeroy de Galhau Les passagers ont dû poireauter plus d’une heure dans le bus. avec un marteau, en juin dernier devant la gare. Il nie les faits et assure avoir été confondu avec le vrai coupable. Un expert a toutefois relevé qu’il souffre de schizophrénie paranoïde. À payer sur place L’autocar immatriculé en Italie devait s’acquitter des montants dus pour repartir, car l’Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières « n’envoie pas d’amendes à l’étranger », indique sa porte-parole, Donatella Del Vecchio. Elle note que les agents ont en l’occurrence appliqué une procédure simplifiée. Si la redevance poids lourd n’est pas payée, le véhicule peut se voir refuser de poursuivre sa route, voire être séquestré. tâche urgente, je suis arrivé à 19h20 », déplore le professeur. BlaBlaCar explique que la situation « résulte d’une erreur »  : la taxe aurait dû être payée par son partenaire transalpin, ensuite remboursée par la société française. « Nous présentons nos excuses aux passagers. » Les voyageurs qui le demanderont seront remboursés, assure la compagnie. –LÉONARD BOISSONNAS Champagne jette l’éponge GENÈVE Le Centre ornithologique de Genthod appelle au secours. Unique au bout du lac, cette structure de soins pour les oiseaux sauvages doit trouver d’ici à la fin de l’été, selon elle, quelque 200’000 francs, sur un budget de 420’000 francs. Sans quoi la structure pourrait, sinon disparaître, du moins ne fonctionner qu’avec quelques bénévoles et stagiaires. « Fini VAUD Vingt-cinq ans après avoir été privés, en vertu d’accords bilatéraux, du droit d’apposer le nom de leur localité sur leurs bouteilles, les viticulteurs de Champagne abandonnent la lutte. De nouveau déboutés par le Tribunal fédéral, en décembre dernier, ils ont décidé d’en rester là, relate « 24 heures ». Cette longue bataille juridique contre le puissant Comité interprofessionnel du vin de Champagne (F) a épuisé l’énergie, mais aussi les finances, des vignerons. Menace sur les soins prodigués aux oiseaux Le centre ornithologique a soigné 2400 volatiles en 2022. –DRA –LECTEUR REPORTER alors les soins prodigués aux animaux par des spécialistes, avertit la direction. Le nombre de nos interventions, des milliers par an, chuterait aussi. » Sur quatre salariés, un a dû être remercié fin 2022, un autre s’en ira bientôt. Peu subventionné, le Centre ornithologique vit surtout de dons. Lesquels ont dégringolé en raison de l’augmentation du coût de la vie. En parallèle, les frais ont grimpé, notamment avec la hausse du prix de l’électricité. –DRA



Autres parutions de ce magazine  voir tous les numéros


Liens vers cette page
Couverture seule :


Couverture avec texte parution au-dessus :


Couverture avec texte parution en dessous :