2 Actu, Bisbille Ville-Canton sur l’aide aux aînés GENÈVE À sa mort, Mme Zell, une riche Genevoise, avait légué sa fortune à la Ville, précisant qu’elle la destinait aux aînés. Fin 2020, désireuse d’aider les sans-abri sans exploser son déficit, la Municipalité leur a affecté 960’000fr., mais s’est financée en baissant d’autant les subventions liées aux retraités. Puis, elle a rebouché le trou en puisant dans le fonds Zell. Le Canton a tiqué. Il a jugé que, la ponction n’attribuant pas de nouvelles ressources aux seniors, elle violait les conditions du legs. Et d’avertir la Ville qu’elle ne pourrait pas inscrire ce revenu aux comptes. Celle-ci a contesté la remarque en justice. La décision est tombée le 13 juillet : son recours est irrecevable, le « conseil » de l’État demeure. Mais le fond de l’affaire n’est pas tranché et la Ville a choisi de persister. –JEF Un train la fauche mortellement Une piétonne de 20 ans a perdu la vie hier matin à Orbe (VD). La malheureuse a été heurtée par la locomotive d’un train de marchandises sur un carrefour. À cet endroit, la chaussée est Limites fixées par la planète BERNE Les Jeunes Vert.e.s ont lancé hier la récolte de signatures pour une initiative populaire intitulée « Pour la responsabilité environnementale ». En substance, le texte demande que les activités économiques de la Suisse ne consomment de ressources et n’émettent de polluants qu’en restant à l’intérieur des « limites planétaires ». Prudents, les initiants précisent que « l’acceptabilité sociale des mesures nécessaires doit également être prise en compte ». L’acceptation de l’initiative ouvrirait une période transitoire de dix ans. Le plancher 1% C’est le taux d’intérêt minimal qui devrait continuer d’être appliqué au 2e pilier, selon la Commission fédérale de la prévoyance professionnelle. Une recommandation qui fâche tant Travail.Suisse que l’Union syndicale suisse. Ils estiment que le taux devrait être relevé à 1,25% afin de coller aux rendements des marchés financiers. traversée par les rails de la zone industrielle. La victime, une Suissesse de la région, a traversé alors que les feux pour les piétons étaient au rouge, a précisé la police cantonale. VAUD Une famille s’est heurtée au service clients de Swiss pour un problème d’identité sur un billet d’avion. Une famille qui devait voyager avec la compagnie Swiss s’est retrouvée prise au piège d’une faille administrative. Les parents, non mariés, avaient réservé des vacances à l’étranger pour l’été 2020. À cause du Covid, le voyage avait été reporté à juillet 2021. Sauf qu’entre-temps, leur bébé en bas âge a changé de nom de famille pour prendre celui de son père, à l’issue d’une longue démarche de reconnaissance de paternité. La maman a donc contacté Swiss pour faire corriger le nom sur le billet d’avion de la fillette. « J’ai passé plus de sept heures au téléphone, envoyé une dizaine de mails, et ma demande n’a jamais abouti. » Elle avait pourtant envoyé les documents officiels attestant le changement de nom. « On me répondait toujours que ma situation ne remplissait pas les conditions, car il ne s’agissait ni d’un divorce, ni d’un mariage », raconte-elle, indignée. Elle n’a donc pas eu d’autre actu.20min.ch Leur bébé qui change de nom a failli faire capoter le voyage Le vol, réservé il y a un an, a failli partir sans les Vaudois. –REUTERS Ravers renvoyés à la maison En avril, les pertes liées au gel avaient été estimées à plus de 70% d’une récolte normale. –ISTOCK À la rescousse des producteurs d’abricots VALAIS Le gel du printemps dernier a causé des situations dramatiques pour les producteurs d’abricots du canton. Ce dernier a décidé d’un soutien exceptionnel à fonds perdu pour les exploitations considérées comme des cas de HAUTE-SAVOIE (F) Une rave party sauvage a réuni une soixantaine de participants samedi soir dans le massif montagneux des Brasses, non loin de la station du même nom de la vallée Verte. La musique, enclenchée à 21 heures, était audible à plusieurs kilomètres. Les gendarmes et les élus locaux sont rapidement intervenus sur place. Ils ont mis un terme à la nouba, forçant les fêtards à ramasser leurs détritus et à débarrasser les lieux à 23 heures, a relaté hier « Le Dauphiné libéré ». La fiesta n’aura duré que deux heures. –ISTOCK rigueur. Jusqu’à 50% des frais de remise en culture seront pris en charge. La facture sera partagée à 40% par le Canton et 60% par le Fonds suisse de secours pour dommages non assurables causés par des forces naturelles. choix que de se rendre au bureau de la compagnie, à l’aéroport, six jours avant le départ, pour que Swiss corrige le nom. La compagnie assure pourtant qu’une correction de nom, après une procédure de reconnaissance de paternité, est bien possible. La porte-parole de Swiss, Meike Fuhlrott, admet pour ce cas une faille dans l’organisation interne : « Manifestement, les représentants du service clients ne disposaient pas d’informations correctes. » La compagnie s’excuse et dit regretter vivement « la manière dont a été traitée cette demande ». –GAËLLE MONAYRON |