4 Actu, 20 secondes Légiférer sur les pneus JURA L’idée de rendre les pneus d’hiver obligatoires revient au Parlement, relate arcinfo.ch. Un député a demandé au gouvernement de consulter d’autres Exécutifs pour envisager la chose « une fois pour toutes » et de voir s’il est possible d’adapter la LCR, qui est une loi fédérale, sur le territoire cantonal. Congé maternité élargi BERNE Les mères dont l’enfant est hospitalisé durant au moins deux semaines après l’accouchement bénéficieront plus longtemps d’allocations de maternité. Le Conseil des États s’est tacitement rallié hier au National. La nouvelle règle concernerait quelque 1300 bébés chaque année. Supplément de bagage ZURICH Le contrôle d’une valise d’un Espagnol de 66 ans rentrant en avion de République dominicaine s’est révélé fructueux, dimanche après-midi. L’homme avait dissimulé 9kg de coke dans son sac de voyage. Après interrogatoire, il a été déféré à la justice. VAUD Les familles de patients en fin de vie se heurtent à des restrictions. Et ces dernières varient selon les établissements. Habitante de la Riviera, elle accompagne un proche aux soins palliatifs à l’Hôpital de Lavaux. Le secteur n’autorise qu’une visite par jour et pendant une heure maximum. « Ce n’est pas normal que les horaires soient aussi restreints. Je comprends qu’il y ait des règles, mais on parle de fin de vie… », regrette cette lectrice. Katia Perrochet, chargée de communication de l’établissement de Cully, répond que « ces restrictions visent à limiter les risques de transmission du Covid et à éviter une éventuelle contamination ». Si les établissements se réfèrent aux recommandations de l’Unité cantonale vaudoise d’hygiène, prévention et contrôle de l’infection, chacun applique sa propre politique pour les soins palliatifs. Et la lectrice y dénonce une inégalité de traitement. Le CHUV autorise « un passage de deux personnes proches par jour et par patient, et la durée d’une visite dépend de la situation clinique du patient », informe Kevin Gertsch, adjoint aux relations médias. À la Fondation Rive-Neuve à Blonay, les passages doivent être courts, mais aucune limitation n’est imposée. Quant à l’Hôpital d’Orbe, « le conjoint ou la personne référente n’a pas de contrainte en matière de visite. Nous leur actu.20min.ch Pas tous égaux lors des visites en soins palliatifs Arbre de la solidarité pour les héros du Covid-19 Des exceptions sont faites en cas de fin de vie imminente. –ISTOCK GENÈVE Ce sont les fruits de la reconnaissance que produira un pommier planté hier au parc des Bastions. Pareil arbre a été offert à chaque canton par la présidente de la Confédération, Simonetta Sommaruga, pour célébrer les héroïnes et les héros de la lutte contre le virus. À Genève, les acteurs des distributions alimentaires pour les précarisés et le personnel de soins ont été honorés. –PHOTO KEY Un homme et une femme, tous deux âgés de 38 ans et de nationalité roumaine, ont été arrêtés au Tessin. Ils sont soupçonnés d’être à la tête d’un réseau de prostitution illégale. L’homme et la Autres cantons À Genève, aux HUG, aucune limite de temps n’est imposée lors de visites en soins palliatifs. À l’Hôpital du Valais, celles-ci sont « limitées à une personne par jour, pour 30 minutes. Les responsables du service peuvent toutefois adapter ces dispositions, dans le cadre fixé par le Centre national de prévention des infections et l’OFSP, déclare Joakim Faiss, membre du Service communication de l’établissement. En cas d’exceptions, le droit de visite peut être accordé à deux proches à la fois. » demandons de se limiter à une visite par jour, mais sans limite de temps », annonce Loïc Favre, responsable de la communication des Établissements hospitaliers du Nord vaudois. Et la mesure est assouplie partout en cas de fin de vie imminente, pour que les familles puissent dire adieu. –LAUREN VON BEUST Deux proxénètes sous les verrous femme ont dirigé des maisons closes dans plusieurs villes tessinoises. Ils auraient réclamé aux femmes sous leur emprise des loyers hors de prix et des frais de permis de séjour. Tripots clandestins fermés par la police NEUCHÂTEL Depuis le début de la deuxième vague de Covid-19, la police cantonale est intervenue à deux reprises pour mettre fin à des tripots clandestins. « On ne peut pas parler de tendance car on ne constate pas une augmentation anormale de ce genre d’événements », a précisé Georges Lozouet, chargé de communication de la police neuchâteloise, hier sur les ondes de RTN. Les participants à ces jeux recevront au minimum une amende de 100fr. pour s’être réunis à plus de cinq personnes. Les organisateurs, eux, s’exposent à d’autres sanctions, car leur activité s’accompagne de délits comme les jeux d’argent illégaux, la vente d’alcool sans patente, ainsi que la consommation de stupéfiants. –ATS Les organisateurs risquent des amendes salées. –ISTOCK |