[91] Mag de l'Essonne n°96 octobre 2008
[91] Mag de l'Essonne n°96 octobre 2008
  • Prix facial : gratuit

  • Parution : n°96 de octobre 2008

  • Périodicité : mensuel

  • Editeur : Conseil Général de l'Essonne

  • Format : (141 x 174) mm

  • Nombre de pages : 48

  • Taille du fichier PDF : 3,5 Mo

  • Dans ce numéro : La base aérienne de Brétigny-sur-Orge va fermer.

  • Prix de vente (PDF) : gratuit

Dans ce numéro...
< Pages précédentes
Pages : 2 - 3  |  Aller à la page   OK
Pages suivantes >
2 3
À toutes fins utiles Conseil général de l’Essonne > Boulevard de France, 91 012 Évry CEDEX : 01 60 91 91 91 (contact@essonne.fr) Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h www.essonne.fr Préfecture de l’Essonne > 0169919191 Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 16h Appels d’urgence > Centre départemental des appels d’urgence (Pompiers/Samu) : 15, 18 ou 112 > Police secours : 17 > Centre antipoison (Paris) : 01 40 05 48 48 > SOS médecins : 01 69 25 91 91 > SOS amitié : 0 820 066 066 > SOS enfance maltraitée : 119 > SOS violences conjugales : 39 19 > Solidarité vieillesse : 39 77 > Sida info service : 0 800 840 800 > Drogues info service : 0 800 231 313 > Accueil sans-abri : 115 > SOS victimes : 08 842 846 37 Numéros utiles > Perte ou vol carte bleue : 0 892 705 705 > Perte ou vol chèque : 0 892 683 208 > Centre d’accueil animalier départemental : 01 60 77 45 67 > Télégramme téléphoné international : 0 800 334 411 national : 36 55 > Météo France : 0 892 680 291 > Dérangements téléphoniques : 10 13 > Gare SNCF grandes lignes : 36 35 > Service information réseau francilien : 0891362020 >RATP:32 46 > Réservations Air France : 0 820 820 820 > Infos Aéroports de Paris : 39 50 > Radio France : 32 30 > Dépannage Gaz de France : 01 64 46 13 14 > Horloge parlante : 36 99 9 D Actualités Ils font l’Essonne D Raymond Sabouret a passé sa vie au service des autres. Ce militant associatif a été décoré de l’Ordre national du mérite. D Jean Weissenbach, le directeur du Génoscope d’Évry, est un chercheur de haut rang. Le CNRS lui a attribué la médaille d’or, un titre très convoité. 24 D Mieux vivre en Essonne Les hôpitaux publics en danger ! D Le service public de la santé est menacé. Sous prétexte de faire des économies, le ministère de la Santé réorganise la carte sanitaire. Au détriment des usagers. 44 D Temps libre J.O : adieu Pékin, bonjour Londres… D Les Jeux Olympiques et Paralympiques de Pékin n’ont pas permis aux athlètes essonniens en compétition de décrocher des médailles. Mais au vu de leurs performances, on peut d’ores et déjà leur donner rendez-vous pour les Jeux de Londres de 2012. ÉVÉNEMENT P.4 LA BASE AÉRIENNE DE BRÉTIGNY-SUR-ORGE VA FERMER La nouvelle est tombée comme un couperêt. La base aérienne fermera dans les quatre ans. Une décision gouvernementale prise sans concertation avec les élus locaux. D MIEUX VIVRE P.26 TRANSPORTS : LE DÉPARTEMENT EN 1 ÈRE LIGNE Améliorer les lignes C et D du RER mais aussi réaliser de nouvelles infrastructures dans le département… Autant de priorités pour le Conseil général de l’Essonne. Elles s’inscrivent dans un ambitieux plan régional de mobilisation pour les transports en Île-de-France. K D DOSSIER P.13 L’ESSONNE AUX 100 COLLÈGES Ouverture du 100 e collège à Lardy, mise en place progressive d’outils numériques révolutionnaires dans les établissements… En Essonne, la rentrée 2008-2009 est placée sous le signe de l’innovation. Distribution d’Essonne, le magazine du Conseil général Si vous connaissez des Essonniens qui ne reçoivent pas régulièrement notre magazine dans leur boîte aux lettres, merci de signaler leurs nom et adresse à la rédaction. Vous pouvez joindre Laurence Duvert au 01 60 91 91 06 ou par courriel lduvert@cg91.fr
Michel Berson, président du Conseil général de l’Essonne D Services publics : notre bien commun L es services publics sont au cœur de l’actualité. Hélas, pour de mauvaises nouvelles : le Gouvernement multiplie les annonces de réformes qui sont autant de retraits du service public. Deux exemples essonniens parmi tant d’autres : les hôpitaux publics et La Poste. C’est d’abord la réforme de la carte sanitaire, qui fera l’objet d’une loi cet automne, mais dont les premiers effets se font déjà sentir avec une multiplication des restructurations, des réorganisations voire des fermetures de lits (Juvisy-sur-Orge, Centre hospitalier sud-francilien, Dourdan-Étampes). À chaque fois, bien que ce ne soit pas une compétence du Conseil général, je reçois les élus concernés et les syndicats pour faire le point de la situation. Je suis effaré de constater que ces projets ne procèdent pas, dans leurs grandes lignes, d’une « Les services publics sont le patrimoine de tous les citoyens et d’abord de ceux qui n’en ont pas. C’est pourquoi nous devons les défendre et les renforcer ». vision qui permette de répondre aux deux objectifs essentiels de notre système de santé publique : la qualité des soins pour tous et l’égalité d’accès pour les personnes et les territoires. C’est ensuite le service public postal où nous constatons une lente dégradation du service rendu aux usagers de l’Essonne comme cet été avec une diminution de l’amplitude d’ouverture des bureaux de poste, ou encore, autre exemple, le transfert d’activités à des opérateurs privés à Massy. Face à cela, le Gouvernement propose un changement de statut, prélude à une privatisation dont l’opportunité même reste à démontrer. Avec la majorité départementale, nous nous opposons à un tel projet et plaidons, au contraire, pour un renforcement de cette entreprise qui participe de la compétitivité de notre territoire grâce à un service performant et accessible. Ces deux exemples - auxquels on pourrait ajouter par exemple l’école ou les transports publics - montrent bien la confusion qui s’est installée dans le débat public. Oui, la modernisation de nos services publics est indispensable. Mais non, cela ne doit pas être synonyme de désengagement de l’État. Pour cela, il est nécessaire de dégager les moyens financiers nécessaires grâce à une fiscalité plus juste qui n’exonère pas les plus favorisés de la solidarité nationale comme c’est le cas avec le « bouclier fiscal ». Les services publics sont le bien commun de la République, le patrimoine de tous les citoyens et d’abord de ceux qui n’en ont pas. C’est pourquoi nous devons les défendre et les renforcer. OCTOBRE N°96 - 3



Autres parutions de ce magazine  voir tous les numéros


Liens vers cette page
Couverture seule :


Couverture avec texte parution au-dessus :


Couverture avec texte parution en dessous :