[79] Le Journal n°23 fév/mar 2013
[79] Le Journal n°23 fév/mar 2013
  • Prix facial : gratuit

  • Parution : n°23 de fév/mar 2013

  • Périodicité : bimestriel

  • Editeur : Conseil Général des Deux-Sèvres

  • Format : (300 x 400) mm

  • Nombre de pages : 22

  • Taille du fichier PDF : 12,8 Mo

  • Dans ce numéro : budget 2013.

  • Prix de vente (PDF) : gratuit

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page10 Se connecter Objectif Très Haut Débit partout et pour tous Internet et les services de communication électronique tiennent une place essentielle au travail comme à la maison. Le développement de nouveaux usages nécessite d'augmenter les capacités des réseaux. Favoriser localement l'accélération des échanges de données par le passage au Très Haut Débit est devenu un enjeu de développement territorial. Les débits électroniques en Deux-Sèvres à ce jour, la très grande majorité des Deux-Sévriens bénéficie du Haut débit, soit un débit minimal de 2 Mbits/s. 95% de la population peut utiliser un modem ADSL (box) et les 47 stations WIMAX installées sur le territoire suppléent aux besoins de 97% des foyers restants. Les Deux-Sévriens ne pouvant se connecter ni à l'ADSL ni au WIMAX reçoivent, quant à eux, une aide du Département pour financer leur équipement satellitaire. La couverture en Haut débit, malgré la disparité des débits réels enregistrés localement, est donc satisfaisante et semble répondre convenablement aux besoins essentiels en termes de messagerie ou de navigation web. Les limites du haut débit Néanmoins, face aux nouveaux services électroniques proposés ou annoncés dans un futur proche, le Haut débit deux-sévrien montre de sérieuses limites. Ainsi, pour les particuliers, l'offre « triple play » qui propose la télévision, l'internet et le téléphone, exige au moins 5 Mbits/s et même de 8 à 10 Mbits/s pour la haute définition. Les entreprises, quant à elles, ont besoin d'un débit important pour fonctionner en réseau, en interne comme avec leurs clients, fournisseurs et sous-traitants. Enfin, les collectivités elles-mêmes profiteraient d'une montée en débit qui permettrait de développer l'administration électronique, la formation à distance, le télé-enseignement, la télé-médecine... Le Très Haut Débit : enjeu de développement des territoires Le Très Haut Débit (50 Mbits/s et plus) permet de répondre aux nouveaux besoins et d'anticiper sur les évolutions majeures à venir. L'enjeu économique au niveau territorial est de taille si l'on sait qu'internet a représenté 25% de la croissance sur la dernière décennie. En favorisant le développement du télétravail, le Haut débit a, par exemple, déjà participé au réinvestissement de certaines zones rurales par des entreprises ou des travailleurs indépendants. Augmenter le débit disponible, c'est donner accès aux services numériques les plus innovants et augmenter l'attractivité territoriale et favoriser le développement. Des échanges à la vitesse de la lumière La fibre optique permet de véhiculer un volume inégalé de données en exploitant les propriétés de la lumière. Pour du Très Haut Débit, la solution préconisée dite FTTH (Fiber To The Home) consiste à amener la fibre directement dans chaque logement. Si cette solution est la plus performante en termes de débit et de fiabilité, c'est aussi la plus coûteuse car tout le réseau est à construire. Son déploiement serait comparable à celui des réseaux d'électricité ou de téléphone au 20 ème siècle. Devant l'ampleur du chantier du "tout fibre" en France, l'Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP) préconise, dans un premier temps, d'amener la fibre le plus loin possible dans les territoires et de compléter le dispositif avec d'autres technologies déjà disponibles. En effet, rapprocher les logements de la fibre autorise déjà une montée en débit importante. ◆ La fibre optique, qu'est-ce que c'est ? La fibre optique est un fil en verre ou en plastique capable de conduire la lumière entre deux lieux pouvant être distants de plusieurs milliers de kilomètres avec un minimum de pertes. Le signal lumineux ainsi véhiculé est à même de transmettre une très grande quantité d'informations à une vitesse inégalée. La fibre fait en effet transiter sous forme de signaux optiques aussi bien la télévision, les données informatiques que le téléphone. Légère, pérenne et insensible aux interférences électromagnétiques, la fibre n'a pour seul inconvénient que son prix. Haut débit et très haut débit : performances comparées Temps nécessaire pour envoyer : 100 photos (0,3 GO) 2h de vidéo standard (4,5 GO) IRM ou 2h de vidéo HD (25 GO) FTTH 100 Mbits/s 24 secondes 6 minutes 33 minutes ADSL 1Mbit/s 40 minutes 10 heures 55 heures 20 Mbits/s en zone rurale L'entreprise VIM est l'une des plus anciennes sociétés françaises du secteur de la ventilation. Lorsqu'elle s'installe à Soudan dans de nouveaux locaux en 2011, cette PME de 150 personnes a la mauvaise surprise de constater que le débit ADSL dont elle peut bénéficier est incompatible avec ses besoins (seulement 2Mo en réception et 300 Ko en émission !). Elle se tourne alors vers Altitude Infrastructure, gestionnaire du réseau WiMAX, qui lui propose l'accès au haut débit par faisceau hertzien (ondes radio). Le déploiement de cette technologie, dont l'entreprise VIM est l'une des premières à bénéficier en Deux-Sèvres, s'appuie sur les infrastructures du réseau WiMAX. Les 47 antennes du département pouvant être équipées pour servir de relais. Cette solution de raccordement par faisceau hertzien constitue une alternative crédible à la fibre optique en termes de performances et présente l'avantage de pouvoir être déployée rapidement en zone rurale tout en valorisant des infrastructures déjà existantes. Les coûts de mise en place et d'abonnement réservent néanmoins cette technologie aux entreprises. Retour sur expérience avec Dawi Ferdi, responsable informatique de la société VIM. De quel débit bénéficiez-vous aujourd'hui via le faisceau hertzien ? Le débit actuel est de 20 Mega symétrique (20 M en entrant/20 M en sortant). C’est le débit minimum dont une PME comme VIM peut avoir besoin aujourd'hui. Le temps de latence de cette technologie est quasi similaire à celui de la fibre optique. Ailleurs, on peut monter jusqu'à 200 Mega sur une distance de 50 km du point relais (point haut). Ce débit vous permet-il des applications spécifiques ? Grâce à cette technologie, nous pouvons transférer de gros fichiers (plans, catalogues, transferts EDI et FTP), faire profiter nos 150 utilisateurs d'une navigation Internet confortable et faire des sauvegardes de données à l’extérieur de la société (ça représente 600 à 800 Go/mois). Une antenne WiMAX peut servir de "point haut" pour une desserte par faisceau hertzien La mise en place du faisceau hertzien a-t-elle été rapide ? La mise en service a nécessité 12 semaines. Après une première visite d’un technicien pour l’éligibilité (distance entre la société et le point haut le plus proche), il a fallu choisir l'endroit le plus approprié pour installer l'antenne de réception puis la mettre en place et la calibrer. Cette mise en place a un coût non négligeable. Il est à noter qu'un seul opérateur, pour l'instant, fournit ce service dans les Deux-Sèvres. Le projet Très Haut Débit en Deux-Sèvres Animateur du Schéma départemental d'aménagement numérique, le Conseil général envisage le Très Haut Débit du point de vue de l'utilisateur final. L'ambition est de pouvoir offrir à tous un accès au Très Haut Débit pour favoriser le confort et l'économie locale, notamment en zone rurale. La logique privilégiée est celle de l'aménagement équitable du territoire et non celle d'une surenchère technologique. Choisir la meilleure stratégie 100% des logements français branchés à la fibre optique à l'horizon 2025 : c'est l'objectif du programme national Très Haut Débit. Pour y parvenir, les collectivités ont été invitées par l'état à élaborer un Schéma Directeur Territorial d'Aménagement Numérique (SDTAN). à la fois diagnostic de la situation existante et document d'orientation, il permet aux acteurs publics de s'interroger, dans un premier temps, sur les besoins réels : quel débit pour quels services ? Pour qui et quels usages ? Sur quelles zones du territoire et à quel horizon ?... Puis, dans un second temps, d'estimer les coûts et revenus potentiels des infrastructures les mieux à même de répondre aux besoins identifiés. Au final, le SDTAN sert donc à établir un projet de développement numérique à long terme intégrant l'ensemble des spécificités territoriales. Une dynamique collective Porté par le Conseil général, le SDTAN associe un bureau d'études et un comité de pilotage où siègent les institutions représentatives du territoire. Après de nombreux échanges avec les collectivités et les opérateurs, la stratégie et les modalités de gouvernance et de co-financement du déploiement du Très Haut Débit ont été dessinées par le Comité de pilotage. 2013 va permettre de finaliser les études nécessaires aux premiers travaux qui pourraient s'engager dès 2014. La stratégie deux-sévrienne Si amener la fibre jusqu'à l'abonné (FTTH) reste l'objectif à atteindre, le coût d'un tel déploiement (estimé à 413 M € en Deux-Sèvres) le rend inenvisageable à moyen terme. Des alternatives identifiées permettent en revanche d'apporter des améliorations significatives rapidement. C'est sur cette base que la stratégie de déploiement du Très Haut Débit en Deux-Sèvres a été élaborée. Le calendrier envisagé• 2013-2018 : évolution du taux d'équipement FTTH jusqu'à 47%. Sont principalement ciblés des sites d'intérêt général (établissements de santé, d'enseignement, de tourisme, services publics,...) et les zones les plus densément peuplées (hors CAN). Budget : 46,6 M €, • 2019-2023 : évolution du taux d'équipement FTTH de 47 à 62%. Sont ciblées des zones d'au moins 300 logements. Budget : 70,1 M €, • 2024-2030 : évolution du taux d'équipement FTTH de 62 à 85%. Sont ciblées des zones à l'habitat dispersé. Budget : 103,4 M €. Au terme de ces trois phases, 85% des logements deux-sévriens seront raccordés en FTTH dont 55% financés par des fonds publics, soit 220,1 M €. Pour les 15% de logements restants, au vu de l'investissement très lourd que nécessite leur raccordement (130 M €), la recherche de solutions alternatives moins onéreuses (montée en débit filaire ou hertzienne, 4G, satellite...) sera examinée. De fait, de nouvelles solutions ne devraient pas manquer d'émerger au vu des évolutions technologiques permanentes constatées depuis quelques années dans ce domaine... ◆ Conseil général des Deux-Sèvres Le JOURNAL I février - mars 2013 I n°23
Partager page11 Faire tourner les livres Chaque bibliothèque publique du département reçoit 3 fois par an la visite du Médiabus. Cette véritable petite médiathèque ambulante transporte près de 3 000 livres, BD, CD et DVD appartenant à la bibliothèque départementale (BDDS). Des documents qui sont prêtés aux 185 bibliothèques locales qui les prêtent à leur tour à près de 30 000 lecteurs... Mardi 22 janvier, 9h30, le médiabus entre dans la cour de la bibliothèque de Saint-Maixent-l'école... C'est le premier passage de l'année. Véronique, Marie-Christine, Sandra, Sandrine et Marie, les 5 bibliothécaires de la Communauté de communes Arc-en-Sèvre* présentes en ce jour particulier se précipitent dans les escaliers pour accueillir Mireille Dubourg et Yannick Gelin. Mireille est bibliothécaire, responsable du fonds bandes dessinées de la BDDS, coordinatrice des réservations et référente pour le Haut-Val de Sèvre. C'est aussi elle qui sélectionne les documents et prodigue ses conseils dans les médiabus. Les 5 bibliothécaires, elles, ont déjà poussé les portes battantes du médiabus. Chacune fait son marché dans le rayon qui la concerne : CD, littérature jeunesse, littérature étrangère, essais, bandes dessinées... Pouvant emprunter près de 300 références, elles suivent leurs envies mais privilégient les documents les plus susceptibles d'intéresser leurs lecteurs : « ça c'est souvent demandé, je prends ». Le stock de DVD est particulièrement apprécié, « les DVD marchent bien à Saint-Maixent ». La moisson de livres est, elle aussi, féconde. Il faut dire que Mireille veille à avoir dans le médiabus un fonds diversifié et approprié. « Le bus n'est jamais vidé, explique-t-elle, c'est un roulement. En rangeant les livres que nous récupérons, nous enlevons ceux qui sont obsolètes ou un peu abîmés et remettons du neuf à la place. C'est comme ça que ça tourne. Nous essayons de ne pas avoir trop de vieux livres, mais aussi de mettre des livres qui sortent facilement, qui sont facilement empruntés par les lecteurs ». La veille, elle a aussi ajouté à sa petite bibliothèque ambulante des références qu'elle sait pouvoir intéresser ou séduire les bibliothécaires saint-maixentaises. "tuuut...tuuut..." Yannick Gelin enregistre les documents empruntés et retournés par les bibliothécaires Aujourd'hui, elle est accompagnée de Yannick, l'un des trois chauffeurs de l'équipe qui conduit le médiabus et se charge d'enregistrer les entrées et les sorties de documents. Plusieurs caisses remplies de livres, de CD et de DVD l'attendent déjà : ce sont les documents empruntés à la BDDS lors du précédent passage du médiabus. Il installe son ordinateur portable et branche son lecteur de code barre. Pour lui, la majeure partie de la matinée va consister à scanner plusieurs centaines de références. La symphonie des « tuuut » commence avec l'enregistrement des retours, les documents rendus par la bibliothèque de Saint-Maixent. Viendra ensuite celui des prêts du jour. De retour à la BDDS, l'ensemble de ces données sera rebasculé sur la base informatique générale. Mireille Dubourg rapporte les caisses de documents dans le médiabus au fur et à mesure de leur enregistrement Le médiabus est une vraie petite bibliothèque où il fait bon farfouiller à force d'échanger, elle connaît leurs goûts et leurs attentes et donc ceux aussi des 2 000 lecteurs des environs. Elle est même sans doute la personne qui connaît le mieux le paysage de la lecture publique du Haut Val-de-Sèvre ! Comme les 9 autres bibliothécaires de la BDDS, elle rencontre en effet 3 fois par an au moins les responsables des bibliothèques de de son secteur et coordonne les réservations et le système de « résavettes », complémentaires des médiabus. Les résavettes permettent d'acheminer des documents réservés par les bibliothèques locales en dehors des passages du médiabus. Très pratique pour « faire circuler les livres plus rapidement ». Très pratique pour vous également si vous souhaitez absolument lire un livre sans pouvoir/vouloir l'acheter : après avoir vérifié qu'il est au catalogue de la BDDS (le catalogue est consultable en ligne sur le site de la BDDS) demandez à votre bibliothécaire de le réserver pour vous ! Au fait, êtes-vous inscrit dans la bibliothèque de votre commune ? Non ? Pas encore ? C'est peut-être le bon moment, le médiabus fait sa tournée d'hiver : à vous la découverte en solitaire ou en famille de centaines de livres, BD, CD, DVD choisis avec soin ! ◆ * La communauté de communes Arc-en-Sèvre assure la gestion des bibliothèques de Saint-Maixent-l'école et de La Crèche. Actualité, horaires et inscription sur http://leblogdesbibs.over-blog.com/Des petites bibliothèques très discrètes Amateurs de théâtre, rendez-vous à la BDDS ! Vous croyez qu'il n'y a pas de bibliothèque dans votre village ? Détrompez-vous ! Ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de bâtiment estampillé « bibliothèque » que vous ne pouvez pas emprunter de livres à proximité de chez vous. En effet, de nombreux dépôts de livres sont installés dans les mairies des petites communes du département. Renseignez-vous auprès de votre mairie pour savoir si un tel dépôt existe chez vous ou, si ce n'est pas le cas, pour inviter la commune à en créer un ! Pour répondre aux besoins des nombreuses troupes de théâtre du département, la BDDS a aménagé dans ses locaux un pôle théâtre ouvert au public. En s'inscrivant gratuitement, toute personne intéressée par la littérature théâtrale (pièces, essais...) a ainsi accès à plus de 12 000 titres. L'inscription permet d'emprunter jusqu'à 10 documents pour une période de quatre semaines. Enfin, le pôle théâtre, c'est aussi un lieu de travail et de recherche agréable où est notamment consultable la base de données spécialisée Mascarille. La BDDS en chiffres 185 lieux de lecture - 839 747 prêts - 303 500 documents - 597 100 € de budget en 2013 dont un tiers (202 200 €) dédié au renouvellement du fonds départemental. Livres, CD, DVD... La bonne adresse pour faire des découvertes ! Les bibliothécaires du réseau départemental publient chaque mois leurs coups de cœur sur le site web de la BDDS. Livres, disques, films, venez piocher des idées sur http://bdds.deuxsevres.com La BDDS et votre bibliothèque locale : un partenariat en 3 dimensions 1. Favoriser la circulation et la consultation de documents Si vous et/ou vos enfants êtes inscrits dans une bibliothèque municipale, vous avez sans doute déjà emprunté des documents étiquetés BDDS. La bibliothèque départementale, pour faciliter l'accès des Deux-Sévriens à tous les savoirs, met en effet à disposition des 185 bibliothèques communales ou intercommunales les 303 500 livres, CD ou encore DVD qui constituent son fonds. Ces prêts permettent de compléter les collections des bibliothèques et de les renouveler régulièrement. Le dispositif bénéficie directement aux lecteurs qui peuvent ainsi consulter des documents récents : le budget souvent très faible des petites bibliothèques autorise rarement l'achat de nouveautés. 2. Faciliter la création et la gestion des lieux de lecture Outre la mise à disposition de documents, la BDDS aide les communes ou les intercommunalités à créer, gérer et animer les bibliothèques et contribue à leur mise en réseau. Elle est notamment chargée d'attribuer aux collectivités des subventions destinées à faciliter l'aménagement de bibliothèques locales, l'informatisation de leurs collections ou leurs animations. Au-delà de l'aspect financier, elle fournit un soutien technique et pratique : visite des locaux à aménager, conseils d'aménagement, prêt d'étagères, aide au choix des documents à acquérir, mise en place des signalétiques... 3. Former, accompagner et échanger La BDDS organise des journées de formation pour les personnels bénévoles ou salariés des bibliothèques du réseau. Destinées à enrichir la pratique bibliothécaire (lecture à voix haute, accueil des personnes âgées, organisation de rallye lecture...), elles sont complétées par un fonds de supports d'animation développés chaque année (expositions, valises thématiques tous supports, petits théâtres de lecture "kamishibaï"...) et de nombreuses rencontres. Un comité de lecture composé de bibliothécaires du réseau et de la BDDS se réunit par exemple 3 fois par an pour sélectionner des ouvrages jeunesse et publier sa sélection dans le catalogue « Baudet lire » distribué aux bibliothèques. Le comité de lecture « Les mots à la bouche » concerne lui la littérature générale tandis que des rencontres sont organisées avec des libraires généralistes (la librairie de Niort, Brin de lecture à Thouars) ou spécialisées (la librairie de bandes dessinées l'Hydragon de Niort) venant présenter les nouveautés ou leurs coups de cœur. Tous ces échanges, en faisant circuler les savoirs et les idées, profitent à tous les lecteurs ! ◆ Pour en savoir plus sur les activités de la BDDS, visitez http://bdds.deux-sevres.com à Niort : 298, route de Coulonges 05 49 26 28 20 - bdds@cg79.fr à Thouars : 28 rue des Épinettes 05 49 66 09 60 - bdthouars@cg79.fr Conseil général des Deux-Sèvres Le JOURNAL I février - mars 2013 I n°23



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