ıux élus Canton de Cajarc Jean-Jacques Raffy, 54 ans, agriculteur, marié, deux enfants. Né à Saint-Sulpice. Premier adjoint au maire en 1977 et maire depuis 1983, vice-président de la communauté de communes Figeac-Cajarc et président du syndicat d’adduction d’eau des Causses du sud de Gramat. Actuel vice-président de la caisse régionale du Crédit agricole, président de l’échelon départemental, président de la coopérative agricole Caudeval à Cajarc. « Je n’ai jamais eu d’étiquette politique. Mais pour cette élection, j’ai fait confiance à un homme : Gérard Miquel. Nous avons exercé la même profession et j’ai donc pu apprécier l’homme. Il réalise un sans-faute depuis qu’il s’est lancé en politique. Au sein de l’assemblée, j’ai envie de m’impliquer, en particulier, dans le développement rural, l’agriculture, l’agro-tourisme. Aujourd’hui, nous devons imaginer des solutions pour installer des jeunes sur les exploitations. A l’heure des 35 heures, leur offrir des conditions de travail décentes. Cela passe par du travail de groupe. J’ai envie d’œuvrer en ce ı sens-là ». ı Canton de Gramat Maxime ı Verdier, 52 ans, artisan charcutier, marié, deux enfants. Ils ont quitté l’assem∫lée Maurice Blazi, conseiller général du canton de Sousceyrac depuis 6 ans Alain Chastagnol, conseiller général du canton de Souillac depuis 18 ans Jean Dumas, conseiller général du canton de Gramat depuis 31 ans Jean Milhau, conseiller général du canton de Cazals depuis 39 ans Président du Conseil général depuis 10 ans Le terrain, Maxime Verdier connaît : depuis qu’il est entré dans la vie active, il n’a cessé de sillonner le canton à bord de son fourgon, au contact de sa clientèle. La charcuterie Verdier, c’est bien plus qu’un commerce. C’est, sur le Causse de Gramat, une véritable institution artisanale. Parce qu’il aime sa région, parce qu’il avait envie de lui offrir un peu de lui-même, le charcutier devient conseiller municipal de Lavergne en 1983, à 31 ans, adjoint en 89 puis maire en 95. « J’ai placé ma campagne sur le thème : réapprendre à travailler ensemble. Il me semble effectivement qu’il y a un gros déficit dans ce domaine sur ce canton. Et, à entendre les encouragements des élus locaux, je pense que nous pouvons vraiment travailler ensemble, y compris bien sûr avec Gramat. Je vais m’y employer. Je suis un enfant du pays, je crois être tolérant. Cela devrait m’aider à faire avancer les choses. Au sein de l’assemblée départementale, j’ai envie de m’impliquer tout particulièrement sur le développement économique, l’artisanat ». Guy Mirabel, conseiller général du canton de Cajarc depuis 25 ans 15 |