6 Donner son sang pour sauver des vies Il n'existe pas de produit capable de se substituer complètement au sang humain. Le don de sang est donc indispensable et vital dans le traitement de nombreuses pathologies : leucémies, hémorragies, hémophilie, grandes brûlures, traitement de maladies infectieuses… on a besoin de plasma ! Celui du groupe AB est notamment très précieux (compatible avec tous les receveurs, quel que soit le groupe). Allez donner votre sang au centre permanent de Luisant situé au 5 rue des Chênes, le lundi de 8h à 12h et les mardis, mercredis et vendredis de 8h à 16h. Renseignements : 02 37 35 50 50 ou sur www.dondusang.net Emploi : l’Eure-et-Loir bénéficie d’une embellie Le Ministère du Travail a publié en fin d’année les derniers chiffres du chômage (données de novembre). Sur un an l’Eure-et-Loir enregistre un reflux de 15,7% du nombre de demandeurs d’emploi et fait mieux que la moyenne régionale (-11,7%) et nationale (-9,7%). Le taux de chômage se situe à 7,1% au niveau départemental (données de juin). Par bassins d’emplois, de fortes disparités demeurent : 5,9% sur Châteaudun, 6% sur Chartres, 6,4% sur Nogent-le-Rotrou et 9,9% sur Dreux. 24 zones d’activités pour faciliter l’accueil de nouvelles entreprises Dans le cadre de son schéma départemental des zones d’activités, le Conseil général a émis un avis favorable au financement de 24 zones dites d’équilibre, pilotées par les Communautés de communes du département. L’enjeu est majeur et doit permettre de faciliter l’accueil de nouvelles entreprises sur son territoire. En effet, la réserve foncière excède aujourd’hui à peine les 100 ha disponibles, alors qu’un niveau de 1000 ha serait souhaitable pour répondre efficacement aux demandes des entrepreneurs. Les 24 zones concernées permettront d’augmenter de 900 ha nos capacités d’accueil. Eurélien n°6 - Hiver 2007/2008 - Actualité actualité Salles de cinéma : le réveil a sonné ! Même s’ils ne sont pas nombreux, les cinémas euréliens, comme ceux de Senonches ou d’Anet avaient montré un regain de vitalité ces dernières années. À Senonches, c’est une salle à la pointe de la technique et qui a su garder son cachet qui anime les soirées percheronnes. Côté « grandes villes », l’heure du réveil a enfin sonné. Au total, avec l’arrivée des « multiplexes », l’Eure-et-Loir s’apprête à accueillir 14 nouvelles salles de cinéma ! À Chartres, tout d’abord, avec une ouverture de 10 salles (de 400 à 80 places chacune) au complexe « Les Enfants du Paradis » soit 1 900 fauteuils. Exit la pellicule 35 mm, innovation technologique oblige, l’établissement chartrain verra l’arrivée de la projection numérique. « Les Enfants du Paradis » tablent sur 450 000 entrées annuelles. À Dreux, les travaux du multiplexe ont débuté en novembre dernier. Là, 1528 fauteuils sur 9 salles sont attendus courant juin 2008, pour un investissement total de 6,5 millions d’euros et 300 000 entrées par an. Un peu plus tard, c’est en 2010 que Châteaudun 14 nouvelles salles devrait ouvrir son nouveau de cinéma complexe : 5 salles de 600 fauteuils sur le site de l’exusine GSP (bordure de l’ancienne RN10). Calendrier comparable pour Nogent-le- Rotrou qui construira son projet à proximité de la place du 11 août, avec 3 salles de 500 places chacune. De quoi égailler les longues soirées d’hiver euréliennes… Métiers du social : des formations d’avenir La rentrée 2007 a vu 110 étudiants en « métiers du social » prendre Le cinéma L’Ambiance à Senonches le chemin de la Faculté des sciences et du Centre régional Jeunesse et Sport (CRJS) à Chartres. Ils profitent du partenariat mis en place depuis 2004 par l’Association pour la formation aux carrières de l’action sociale et à l’animation (AFCASA) avec l’Institut en travail social de Tours (ITS) et l’École régionale en travail social d’Olivet (ERTS). Ils peuvent ainsi suivre, en Eure-et-Loir, les formations aux diplômes d’État d’aide médico-psychologique (AMP), de moniteurs éducateurs et d’éducateurs spécialisés. Ce pôle de formation aux carrières de l’action sociale est une des idées fortes de l’AFCASA. Permettre aux jeunes et aux professionnels de se former dans le département. Réduire ainsi les coûts en transports et en hébergement pour les De futurs étudiants. Offrir des collaborateurs formés et quali- collaborateurs formés et qualifiés fiés aux employeurs du département. Tel est le fer de lance de l’association. « Nous sommes très satisfaits que l’AFCASA et le Conseil général aient permis de développer cette initiative sur Chartres », se félicite Christine Cé, directrice du service de prévention spécialisée de l’ADSEA. L’AFCASA souhaite aussi développer des actions de formation continue. Au programme de l’année 2008, la réforme des tutelles ou bien encore l’autisme. Autre nouveauté, une section d’assistant de service social est à l’étude pour une ouverture dès septembre. Contact : 02 37 34 67 08 |