[25] Vu du Doubs n°166 mars 2009
[25] Vu du Doubs n°166 mars 2009
  • Prix facial : gratuit

  • Parution : n°166 de mars 2009

  • Périodicité : mensuel

  • Editeur : Conseil Général du Doubs

  • Format : (210 x 280) mm

  • Nombre de pages : 36

  • Taille du fichier PDF : 7,0 Mo

  • Dans ce numéro : aux côtés des entreprises contre la crise.

  • Prix de vente (PDF) : gratuit

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IDoubs nature I Villes et villages fleuris Que chacun apporte sa fleur aux massifs Participer au concours Villes et villages fleuris, c’est non seulement embellir le cadre de vie, mais c’est aussi partager des moments de convivialité entre voisins, voisines. L’édition 2009 est lancée ! L’expérience des Terres-de-Chaux en témoigne : le fleurissement d’une commune est une œuvre collective. « Si j’ai donné l’impulsion dès mon élection en 2001, rien n’aurait été fait sans l’adhésion d’une douzaine de bénévoles », souligne le maire, Jean-Jacques Venditti. Résultat, après six années d’efforts, la commune a décroché sa première fleur en 2008. « Nous nous rencontrons à la fin de l’hiver pour échanger nos idées, nous arrêtons un projet puis je passe commande », explique Marie-Ange Antoine, responsable du groupe. « Ensuite nous nous répartissons les tâches. » Quelques conseillers municipaux, l’employé communal, Pascal Firode, et des jeunes de la commune en emplois saisonniers prêtent main-forte. Le point de vue de André Péquignot, conseiller général du canton de Saint-Hippolyte 12_vu du doubs_mars 2009 « Grâce à des initiatives comme le concours Villes et villages fleuris, la physionomie de nos communes a radicalement changé en 30 ans. Les habitants se sont réappropriés l’espace communal pour le mettre en valeur. Une émulation s’est créée, et elle contribue à embellir notre département. » « La commune attribue un budget de 1000 € environ pour le fleurissement », précise le maire. Et le jour des plantations est prétexte à une fête autour d’un barbecue. Autour de l’église aux fresques romanes C’était un challenge pour cette commune modeste née en 1970 de la réunion de quatre villages : 126 habitants répartis sur 1 470 hectares. À l’éparpillement s’ajoutent les difficultés de l’altitude (700 m). Mais nos jardiniers à la main verte s’en sont très bien tirés en choisissant des éléments du patrimoine à mettre en valeur, et quelques points de vue jusqu’à la Suisse. Et, au centre du parcours, une charmante église qui recèle d’inattendues fresques romanes. « Il ne faut pas chercher l’originalité à tout prix, ni vouloir tout fleurir », conseille Laurent Moreau, chargé de mission au Comité départemental du tourisme qui vient de lancer l’édition 2009 du concours Villes et villages fleuris. « Une fois pris dans l’engrenage, on veut faire toujours mieux, et les habitants eux-mêmes rivalisent d’imagination », conclut Jean-Jacques Venditti. Formation à Chevigney -les-Vercel. Des formations pour bien se préparer Chaque année, le Comité départemental du tourisme organise des formations gratuites et ouvertes à tous (nombre de places limitées, voir ci-dessous). Le cycle débute chez Laurent Jacquin, horticulteur à Sancey-le-Grand, le 21 avril à 15h, sur le thème : « Vivaces et annuelles : quels choix pour vos massifs ». Il se poursuit le 11 mai, à 15h, au gîte de La Fontaine aux oiseaux, à Chevigney-les-Vercel, où il sera question de la mise en place des massifs. Il sera possible de s’y rendre à nouveau le 15 septembre à 15h pour juger de l’évolution des massifs. Entre-temps, une visite commentée du festival des Jardins, à la Saline royale d’Arc-et-Senans, sera organisée le 2 juillet à 15h. Inscriptions au concours et aux formations auprès du CDT : Marion Izquierdo, tél. 03 81 21 29 63 marion.izquierdo@doubs.com Internet : www.doubs.travel
I dossier I 127 M¤ d'investissement Le Conseil général aux côtés des entreprises, contre la crise « N’ajoutons pas la récession à la récession », ne manque pas d’affirmer le président Jeannerot en citant à l’appui les projets d’investissement que le Conseil général réalisera en 2009. Près de 16 M € d’aides directes sont consacrés au secteur économique que constituent l’industrie, le tertiaire, l’agriculture et le tourisme. C’est là une façon d’affirmer des choix en faveur de l’emploi et du développement des entreprises alors même que l’action économique n’est pas une compétence obligatoire pour les Départements. Mais c’est surtout à travers ses programmes d’équipement et d’intervention que le Conseil général se situe comme un partenaire majeur du secteur économique./mars 2009_vu du doubs_13



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