16 Enseignement Le Conseil Général soutient le développement du Pôle d’enseignement supérieur aurillacois Le Pôle d’enseignement supérieur aurillacois accueille cette année 1230 étudiants ! A l’origine de ce succès, des formations attractives et qualifiantes mais également un soutien continu du Conseil Général et de la Communauté d’Agglomération du Bassin d’Aurillac (CABA) qui accompagnent cette dynamique en offrant à l’ensemble de la communauté étudiante des conditions d’accueil et des services de qualité. Le Pôle d’enseignement supérieur du bassin aurillacois est aujourd’hui pleinement reconnu au plan national. « Cette réussite est le résultat d’une synergie. A la source de cet élan, il y a une collaboration fructueuse entre l’Etat, le Conseil Général et la CABA, la communauté universitaire et plus largement les établissements d’enseignement supérieur et les entreprises » indique Louis-Jacques LIANDIER, Vice-Président du Conseil Général en charge de l’enseignement supérieur. Sans cette mobilisation, sans cette union des moyens et des volontés, le développement de l’offre universitaire cantalienne n’aurait pu être mené à bien aussi vite et aussi efficacement. Des formations attractives et qualifiantes Mais à la base du succès, il y a une démarche. Elle tient en quelques principes : identifier des besoins non satisfaits ou insuffisamment satisfaits par l’offre de formation régionale et nationale, répondre aux attentes des étudiants (futurs salariés), répondre aux attentes des entreprises, faire le pari de la recherche et de l’innovation. C’est dans cet esprit que le Cantal s’est très tôt positionné dans le développement de filières attractives comme par exemple le DUT « Génie Biologique » et ses options agronomie, génie de l’environnement et bio-informatique unique en France ou encore, le DUT « Gestion des Entreprises et des Administrations » et sa Licence professionnelle « Gestion des Ressources Humaines et Technologies de l’Information et de la Communication ». Cinq autres établissements accueillent également des formations d’enseignement supérieur, (notamment des BTS mais pas seulement) : le Lycée Jean Monnet, le Lycée Saint Géraud, l’Ecole Nationale en Industrie Laitière et Viande, l’Institut de Formation en Soins Infirmiers, et enfin La Manufacture. « En centrant son offre autour de diplômes recherchés et innovants, le Cantal a indiscutablement parié sur l’avenir avec des ensembles pluridisciplinaires modernes, des formations qualifiantes, des secteurs en pleine expansion et des services performants au moins équivalents à ceux que l’on peut trouver dans des zones plus urbaines » précise Louis-Jacques LIANDIER. 1230 étudiants présents à Aurillac : un impact fort sur l’économie locale « Les 1230 étudiants présents aujourd’hui à Aurillac témoignent de la justesse des choix qui ont été opérés. Les effectifs augmentent régulièrement et près de 600 d’entre eux, soit près d’un sur deux, viennent de l’extérieur du département » ajoute Louis-Jacques LIANDIER. L’existence et la croissance du pôle universitaire représentent d’ailleurs un enjeu majeur pour le développement économique du bassin aurillacois. La présence de 1230 étudiants a en effet un impact direct sur l’économie locale : hausse de la consommation, création de services spécifiques et donc d’emplois, essor du marché de l’immobilier et activités pour les entreprises. Dans un territoire rural, la vie étudiante permet non seulement de maintenir les jeunes sur le territoire mais également de créer une dynamique favorable à l’accueil d’étudiants extérieurs au département et à la région. |