[04] Alpes de Haute-Provence n°132 février 2015
[04] Alpes de Haute-Provence n°132 février 2015
  • Prix facial : gratuit

  • Parution : n°132 de février 2015

  • Périodicité : mensuel

  • Editeur : Conseil Général des Alpes de Haute-Provence

  • Format : (206 x 265) mm

  • Nombre de pages : 20

  • Taille du fichier PDF : 3,5 Mo

  • Dans ce numéro : les Basses-Alpes et la grande guerre.

  • Prix de vente (PDF) : gratuit

Dans ce numéro...
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Histoires d’archives 1890 Les Archives départementales racontent… L’inconnue de Sisteron U ne jeune fille apparaît, de dos, les cheveux nattés, sur une vieille carte postale colorisée. Elle se penche sur la toile posée sur un chevalet qu’une femme peint alors, à la fontaine du vieux couvent des Dominicains, à la Baume de Sisteron. La carte postale porte à l’encre noire une date Si quelqu’un a identifié l’inconnue ou la femme peintre, qu’il nous l’écrive à : archives04@cg04.fr – le 29 octobre 1902 – et un mot de Saint-Marcel Eysseric, l’auteur du cliché, à l’adresse de sa petite-fille Anne Sarlin, alors âgée de 10 ans : « J’envoie une grosse caresse à ma petite mimi. Quel est le sol fa si la si ré ? Si tu devines, je t’embrasse une fois de plus ». Dans l’ouverture du portail, au dernier plan et en noir et blanc, un ami d’Eysseric, Henri Colomb, et son neveu né en 1884, Jean Buès, regardent le groupe. Ils posent, la canne de l’homme jonchant le sol. Debout contre la porte est délicatement posée l’ombrelle de la femme peintre. L’inconnue apparaît dans neuf clichés de Saint-Marcel Eysseric, pris vers 1890 et toujours à Sisteron, dont une fois encore à la vieille fontaine. Elle est alors allongée sur le ventre, la tête reposant sur ses bras pliés, sur un banc de pierre. Elle fait face à l’homme qui accompagnait l’enfant. 18 Par jeu, Eysseric a nommé ce cliché : « Idylle à la Baume » ! C’est la seule image de face de cette jeune fille du peuple. Derrière se devine la présence du peintre protégé du soleil par son ombrelle accrochée au chevalet, un gros chien à ses pieds. Une autre fois, elle est en discussion avec une très vieille femme à la Baume, que les gens appelaient « la Pythie » ! Mais de quoi ou de qui parlaient-elles ? L’inconnue porte les mêmes vêtements : sur la carte postale colorisée, sa robe est bleu ciel et sa veste de couleur brune. Elle est chaussée de bottines d’où montent des bas épais. La jeune fille accompagne généralement la femme peintre. Saint-Marcel Eysseric les suivaient-elles en vue de réaliser un reportage en ces jours ensoleillés ? Deux clichés sont pris sur la place de la Grande école : elle est alors assise sur une chaise haute puis sur un muret. Sur un autre cliché, debout sur la margelle de la fontaine de la Niero place Chapusie, elle se rafraîchit. Dans le bas de la ville, alors qu’elle s’est appuyée au mur, elle fait face à la femme peintre. Un autre cliché la montre assise au même endroit avec un enfant dans les bras, la femme peintre à ses côtés. Jamais Eysseric ne livra des indices sur son identité, comme si elle avait traversé l’image !
40- On a vu souvent rejaillir le feu Marie-Noël Paschal Éditions Baudelaire www.editions-baudelaire.com Tél. 04 37 43 61 75 Qui en veut à Judith Magne, maire d’un petit village de Haute-Provence ? Quel Corbeau s’acharne sur elle, en tant que maire, mais aussi en tant que femme ? Dans ce troisième roman l’auteure évoque les thèmes qui lui sont chers : la Haute-Provence, l’amour et l’art. 522 pages - 25 € ZW- 4244 5r-riz v, Le val d’Angouire Moustiers la sacrée André Houriez Ferme Les Granons Le Chaffaut-Saint-Jurson houriez.andré@orange.fr Sur une toile de fond provençale, Fannette, une enfant d’exception, va apprendre à grandir au fil de ses engagements et de ses principales confrontations aux dures réalités de la vie pendant la seconde guerre mondiale. 226 pages - 18 € Agenda 21 La famille Beauchemin PM Ft Parf&TN ; hpd fiki4h4P FiYif f1i'L3C ! },rtiOM at DEINAZ WE S t F rG F f 19 1 Revue Giono N°8 Association Les amis de Jean Giono amisjeangiono@orange.fr Dans ce numéro, commence la publication des cinq cents lettres inédites que Giono a adressées à ses parents entre 1915 et 1919. Il est largement consacré au parcours du « poilu Giono » et aux conséquences de cette expérience tragique sur ses engagements futurs, son imaginaire et son œuvre. 346 pages - 20 € ) rimborions et'est jamais n'eT 1ne accouchée n u te souvi grands yeux tient cependant droite et sol t du'on dise : « Vous -e`Thrr tr are - olael sue ri e la Lirarr t - - -rrrrt'. wr, ontr, a ait la ettains s'assoit pour q'elle se pour el est hew t là, acc` ige 1. Te e"Celà se vo Vine une lionne Tevevont pas tarder à ces ove ne disposition. En tout ca tes et les calcul fait les comptesuir, des de faire lang 111, ` à lire me gêner. o Cèle. Il avait truqué aVec de. chien fi le ces maisons o le il n'y a let chez les préteurs, Celle courir au pus l apins pressé..Ces dag é la à l cabane côté des papi ne il se doit du aslesavc Il vaut mieux nep Tout ç a qui nous fai rien dit. son gro dans Châtillon avec n n'a pas b abane a lapins. et Ve nir avec leurs armesller el (bon signe. On peut ylleriel s savez qu'elle va serna'est le chef d'oeuvre riage, c Mais a C'est le pasteur. unent b soir. Elle est comme elle l le lui a dit En tout cas pas. Elle crie suffisamment on envoie à la caba'iéfices effacé m rôle en première eux au c1el. S'iet lève les y atelles N BD : Bernard NICOLAS



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